Fleurir au rythme des saisons

Le fleurissement en liturgie a plutôt une démarche symbolique qui, à l’inverse de l’allégorie, part de l’objet (les fleurs et leur arrangement) pour exprimer une réalité abstraite. La composition florale ne démontre pas, elle montre ; elle n’explique pas elle opère ; elle n’illustre pas un texte, elle travaille la sensibilité par l’intermédiaire de la vue. La composition n’est pas une homélie, elle est une louange.

– Du bon usage de la liturgie, Guide Célébrer, p.105

  • Fleurir les églises en été

    Après le printemps au climat doux et parfois humide, aux tendres couleurs pastel, voici l’été, saison de la force et de l’explosion de la couleur.

  • Fleurir en hiver

    C’est le moment de contempler dans la nature l’architecture des arbres qui nous montrent leurs formes. Sachons les regarder, nous y verrons le côté dramatique du châtaignier, celui geignard du saule, l’élégance et la fierté du hêtre, la force du chêne ou du marronnier et tant de choses encore.

  • Fleurir en automne

    L’automne c’est le temps des feuilles qui sèchent et tombent en tourbillonnant, des châtaignes qui se fendent sous les pas. Pommes et poires sont à la fête, les noix, les figues et surtout le raisin abondent sur les marchés. Festival de rouge, de brun, c’est le temps des champignons et des odeurs d’humus. Les couleurs de l’été cèdent la place aux rouilles, orange, brun, or. Les tons dorés et chauds prennent la place des brillantes couleurs de l’été.

  • Fleurir la liturgie au printemps

    Comment fleurir en liturgie au printemps ? Le printemps, saison du renouveau, où les couleurs réapparaissent, est aussi la saison de la grande fête chrétienne de Pâques.

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  • Fleurir selon les temps liturgiques

    Le fleurissement en liturgie a plutôt une démarche symbolique qui, à l’inverse de l’allégorie, part de l’objet (les fleurs et leur arrangement) pour exprimer une réalité abstraite. La composition florale ne démontre pas, elle montre ; elle n’explique pas elle opère ; elle n’illustre pas un texte, elle travaille la sensibilité par l’intermédiaire de la vue. La composition n’est pas une homélie, elle est une louange.

  • Fleurir en liturgie : le sens de notre mission

    Les signes, surtout les signes sacramentels, doivent avoir la plus grande expressivité. Le pain et le vin, l’eau et l’huile, mais aussi l’encens, les cendres, le feu et les fleurs et presque tous les éléments de la création ont leur place dans la liturgie comme une offrande au Créateur et contribuent à la dignité et à la beauté de la célébration.