Hélène Bricout

H. BricoutBiographie

Professeur d’histoire et de théologie de la liturgie à l’Institut supérieur de liturgie (ISL).

Tous les articles de l'auteur

  • La Maison-Dieu n°302 : Les bénédictions dans l’Eglise

    Les bénédictions font partie des actes cultuels majeurs dans les Églises chrétiennes, et plus particulièrement, dans l’Église catholique. Elles sont parfois liées à la célébration des sacrements, constituant alors des étapes décisives ou opportunes dans le cheminement des personnes, selon l’itinéraire proposé par l’Église. Elles sont aussi, en tant que sacramentaux, liées à des activités […]

  • La Maison-Dieu n°301 : Chemins de réconciliation et de guérison

    Cet ouvrage aborde la grande question de la réconciliation et de la guérison intérieure sous plusieurs angles, associant expériences pastorales et réflexions théologiques fondamentales, constats et analyses.

  • La Maison-Dieu n°294 : Miséricorde et réconciliation

    Le numéro 294 de la revue d’études liturgiques et sacramentelles La Maison-Dieu s’intitule Miséricorde et réconciliation, il aborde également le sujet des garçons et des filles au service de l’autel. Ce volume de la revue trimestrielle du SNPLS est paru en décembre 2018 aux éditions du Cerf.

  • Se « donne »-t-on vraiment le sacrement du mariage ?

    Il fut un temps où l’on trouvait fréquemment sur les faire-part de mariage : « Adélie et Ulysse se donneront le sacrement de mariage. » L’expression est moins fréquente aujourd’hui, et le Rituel du mariage actuel, qui date de 2005, y est sans doute pour quelque chose. A en considérer la structure et les acteurs, on peut comprendre pourquoi.

  • Le sacrement de mariage, un acte d’Eglise

    Si le mariage est un sacrement, c’est qu’il est un événement ecclésial, comme tous les sacrements. Le faire percevoir est essentiel, car la privatisation du mariage est une réelle tentation aujourd’hui. Or il arrive souvent que notre langage, loin de clarifier la dimension ecclésiale du sacrement de mariage, l’obscurcisse. Tel est le cas lorsque l’on dit par exemple que les conjoints « se donnent » ou « s’échangent » le sacrement. Un peu de précision s’impose.

  • Célébrer l’année liturgique : entrer dans une autre signification du temps

    Par Hélène Bricout, Professeur d’histoire et de théologie de la liturgie à l’Institut supérieur de liturgie (ISL – ICParis) Lire L’année liturgique, fruit des traditions de l’Eglise L’axe pascal de l’année liturgique L’équilibre est toujours délicat entre la célébration de l’ensemble du mystère pascal et la mise en valeur de l’un de ses composants, de façon à […]

  • L’année liturgique, fruit des traditions de l’Eglise

    Le mystère pascal est une réalité dont l’ampleur et la profondeur nous échappent, et nous échapperont toujours. Malgré la relative simplicité de son énoncé – le Christ est venu, il est mort, il est ressuscité, il reviendra dans la gloire – ses implications théologiques et spirituelles dépassent ce que notre entendement nous permet de saisir. Pourtant, l’Eglise n’a jamais cessé de vouloir aider les fidèles à approfondir ce mystère afin d’en vivre.