• Célébration en l’absence de corps : don à la science, disparition en mer ou en montagne, inhumation à l’étranger

    Il n’est pas rare aujourd’hui de devoir célébrer des funérailles sans corps, les raisons en sont multiples : disparition en mer ou en montagne, don du corps à la science, décès et inhumation à l’étranger, un temps de prière et d’adieu en l’absence de corps est prévu. Le deuil est difficile à entreprendre car l’absence de dépouille ne rend pas la perte tangible.

  • Ritualiser le deuil d’un bébé mort-né

    Le fait de lui donner un prénom, de le faire habiller, de le toucher, de rester un moment avec lui et de l’inhumer marquent autant d’étapes dans le deuil. Et si l’enfant mort ne peut être baptisé, il est tout au moins possible d’organiser un rite d’adieu selon la volonté et la religion des parents.

  • Travail de deuil, rituels et espérance chrétienne

    La connaissance de ce que l’on appelle « travail de deuil » facilite l’accompagnement des familles tant dans sa phase rituelle que dans l’écoute ; c’est un outil qui rend compte d’un processus de déconstruction-reconstruction ou encore de séparation.

  • La mort éprouvée, accompagnée, célébrée : parlons-en !

    Oser parler de la mort, oser poser des mots sur des peurs, des doutes et des interrogations qui habitent chacun d’entre nous, c’est ouvrir une voie vers une meilleure compréhension et acceptation de cette étape essentielle de la vie.

  • Crémation : « Que ferons-nous des cendres ? »

    Lors des entretiens avec les familles en deuil, lorsque le défunt a souhaité une crémation, les équipes funérailles des paroisses entendent parfois la question : « Mais que ferons-nous des cendres ? ».

  • L’encens dans la liturgie

    Quelle est origine de l’encens et quand l’utilise-t-on dans la liturgie ?

  • La bénédiction du corps du défunt, un dernier adieu

    Autant on a du mal à concevoir des funérailles sans la bénédiction du corps, autant on a parfois du mal à concevoir le sens de ce rite ! Nous nous proposons d’en développer ici deux aspects.

  • Proposition pour une veillée de prière auprès d’un défunt

    livre de psaumes

    Il n’est pas rare aujourd’hui que les personnes chargées de l’accompagnement des familles eu deuil prennent en charge l’animation d’une veillée de prière, avec la famille et les proches, auprès du défunt. Et cela est heureux, car souvent d’un grand réconfort pour la famille, et cela permet de ritualiser le début du parcours de deuil que conduit l’Église jusqu’à la séparation totale (la mise en terre), en passant par la célébration à l’Église et le dernier adieu.

  • Rendre grâce aux funérailles

    Alors que la tristesse remplit nos cœurs, que des pourquoi travaillent nos esprits, que la révolte est parfois prête à surgir ou à resurgir, l’Eglise nous invite à rendre grâce. Est-ce vraiment possible quand tout semble s’effondrer avec la disparition d’un être cher ?

  • Faut-il chanter aux funérailles ?

    Le Rituel pour les funérailles rappelle le
    « double rôle » de la musique : « celui de
    créer le juste climat de paix au-delà de la
    douleur, en aidant à la cohésion d’une
    assemblée unanime ; celui d’exprimer la
    prière de supplication et de foi pascale »
    (n° 25).

  • Chansons et musiques profanes lors des mariages ou des funérailles

    Il arrive fréquemment qu’à l’occasion de mariages ou de funérailles, des familles demandent la diffusion d’enregistrements de musiques et de chansons profanes. « Nous aimons beaucoup cette musique », disent les futurs mariés ; « c’était la chanson préférée de notre père » dit la famille en deuil.