Acteurs de la célébration

La célébration eucharistique est l’action du Christ et de l’Église qui est le peuple saint réuni et organisé sous l’autorité de l’évêque. C’est pourquoi elle concerne le Corps tout entier de l’Église ; elle le manifeste et l’affecte ; en réalité, elle atteint chacun de ses membres, de façon variée, selon la diversité des ordres, des fonctions et de leur participation effective [SC 26]. De cette manière, le peuple chrétien, « descendance élue, sacerdoce royal, nation sainte, peuple racheté », manifeste sa cohésion et son organisation hiérarchique [SC 14]. C’est pourquoi tous, ministres ordonnés ou fidèles laïcs, en accomplissant leur fonction ou leur office, feront tout ce qui leur revient, et cela seulement [SC 28].

– Présentation Générale du Missel Romain, n° 91

  • Les voies nouvelles de la pluriministérialité en liturgie

    Les voies nouvelles de la pluriministerialité en liturgie. Cet article réfléchit l’actualité et la fécondité de l’adage de saint Jean-Paul II « La liturgie, épiphanie de l’Église en prière » sous l’angle de la pluriministérialité qui s’exerce dans la célébration selon le Missel romain.

  • 15 août 2010 : Prière universelle lors de la messe du 15 août, Abbaye d'Ourscamp (60), France. August 15, 2010 : mass celebrated at Ourscamp abbey, France.

    Les acteurs de la liturgie manifestent la diaconie du Christ

    Dans la célébration chrétienne, tout disciple, suivant en cela l’exemple du Christ serviteur, est appelé à se mettre au service de l’assemblée. Ce ne sont donc pas les seuls ministères d’évêque, de prêtre ou de diacre qui manifestent, la diaconie du Christ. De multiples acteurs ont à cœur de la rendre visible dans l’action liturgique. Mais ce service de la diaconie ne saurait être un service ordinaire.

  • Apprendre à célébrer avec des enfants

    Apprendre à lire et à compter, apprendre à nager, apprendre à célébrer…un mot commun : « apprendre » pour des apprentissages très différents. Apprendre, mais dans la liturgie surtout initier. Quand on apprend à célébrer avec des enfants, deux alliés leur sont précieux : le corps présent par ses cinq sens et le temps, en acceptant que les résultats ne soient pas toujours vérifiables.

  • Participer à la célébration

    Beaucoup pensent que la demande faite par l’Église aux fidèles d’avoir une participation active à l’action liturgique remonte au deuxième concile du Vatican. En réalité, elle a exactement soixante ans de plus et date de 1903.

  • Les “prières sur le peuple” à la fin de la messe

    Depuis la nouvelle traduction francophone du Missel romain entrée en vigueur en France en 2021, une oraison super populum est systématiquement prescrite pour les dimanches de Carême et proposée chaque jour de ce temps liturgique.

  • Le missel au service de l’art de célébrer la foi

    Le Missel n’est pas d’abord un texte à lire, ni même à méditer. Il est avant tout un livre-action qui vise à faire naître le véritable culte eucharistique afin que toute vie humaine s’y insère.

  • La dimension pastorale du Missel romain

    Dans cette contribution parue dans le n° 306 de la revue La Maison-Dieu (décembre 2021), Bernadette Mélois, directrice du Service National de la Pastorale Liturgique et Sacramentelle (SNPLS) souligne la dimension éminemment pastorale du Missel romain, à l’occasion de sa nouvelle traduction en langue française.

  • Participation active et synodalité : un appel réciproque en liturgie

    Qu’il s’agisse de tendances de fond (l’individualisme ambiant…) ou de raisons plus conjoncturelles (les pandémies récentes, un changement de pasteur…), les évolutions de la société conduisent à « se déshabituer de la messe »

  • Liturgie et synodalité ; deux aspects de l’Église corps du Christ

    « On a la fâcheuse habitude de compartimenter les choses et de ne pas relier les différentes réalités les unes aux autres. Dans l’Église, il est commode d’identifier des gens à des secteurs, ou pire, à des dossiers… »

  • Célébration de l’Eucharistie : « Vous êtes le corps du Christ »

    D'après une intervention de Maxime Leroy, directeur du CIPAC (Centre de formation pastorale et d’animation catéchétique interdiocésain, à Lille) lors d’une journée diocésaine des équipes liturgiques dans le diocèse d’Arras en avril 2000. « La liturgie - et tout spécialement l’eucharistie - est à la fois la source et le sommet de toute vie chrétienne » nous dit le Concile Vatican Il au n°10 de sa Constitution sur la Sainte Liturgie. Source et sommet de toute notre vie. Mais qu’est-ce donc que la vie ?

  • La participation active des fidèles aux célébrations liturgiques

    Quelle est la signification de cette « participation pleine, consciente et active » que l’on « doit viser de toutes ses forces dans la restauration et la mise en valeur de la liturgie » selon la constitution Sacrosanctum Concilium du Concile Vatican II ? Voici une réponse en quelques mots

  • Tout le monde ne chante pas tout

    Après Vatican II, l’assemblée, dans nos églises, s’est emparée avec enthousiasme du chant et a cru de bonne foi qu’il lui revenait de tout chanter à la messe, puisqu’on lui demandait une « participation active ».

  • La participation active des fidèles durant la messe

    « La mère Église désire beaucoup que tous les fidèles soient amenés à cette participation pleine, consciente et active, aux célébrations liturgiques qui est demandée par la nature de la liturgie elle-même et qui est, en vertu de son baptême, un droit et un devoir pour le peuple chrétien » (Constitution sur la liturgie, n°14). Cette demande du Concile, bien reçue dans les communautés chrétiennes, suppose que chacun comprenne ce dont il s'agit lorsqu'on évoque la participation active des fidèles.

  • La double figure du Christ : pasteur et serviteur

    Ces deux figures sont désignées par Jésus lui-même : « Je suis au milieu de vous comme celui qui sert » (Lc 22, 27), et « Je suis le vrai berger » (Jn 10, 11). Ce « Je suis » de Jésus nous rappelle la même affirmation de Dieu, en réponse à la question de Moïse : « Je suis celui qui suis » (Gen 3, 14). « Je suis » est le nom par lequel Dieu veut être appelé.

  • Les « ministres ordonnés » : l’évêque, le prêtre et le diacre

    Du latin ordinatio : « action de mettre en ordre », « action d’orga­niser la distribution des charges », l’Ordination se déroule au cours d’une cérémonie solennelle qui confère le sacrement de l’ordre. L’acte essentiel de l’ordination épiscopale, presbytérale et diaconale est l’imposition des mains suivie de la prière consécratoire. Le caractère épiscopal est requis pour procéder validement à des ordinations.

  • Le chant des ministres ordonnés dans l’eucharistie

    On s'est beaucoup appliqué à parler du chant des fidèles, du rôle de la chorale et de l'intérêt de disposer de bons chantres. Peut-être a-t-on négligé le chant du ministre ordonné. Si ce ministre n'est pas vocalement défaillant, qu'apporte le chant ?

  • Le ministre du baptême : qui baptise ?

    Nous ne nous posons guère de question à propos du ministre du sacrement de baptême : nos communautés sont, aujourd’hui, habituées à voir le diacre, et non plus seulement le prêtre, baptiser. Cependant, le cas du baptême est, parmi les sept sacrements, assez particulier à propos de cette question du « ministre » …

  • Diacres et liturgie : contempler le Christ serviteur

    En 1964, le Concile Vatican II envisageait une restauration du diaconat, comme ordre permanent[1]. Le pape Paul VI le rétablit trois années plus tard [2]. Aujourd’hui, dans chacun de nos diocèses, des hommes d’origines diverses, mariés ou célibataires, sont appelés par leur évêque à devenir signe du Christ serviteur, au milieu du monde en recevant l’ordination diaconale.

  • L’esprit de la Présidence

    Toute action liturgique est l’œuvre d’une assemblée, réalisation concrète de Église, Corps du Christ, en un lieu et en un temps donnés. Cette assemblée, où tous sont égaux en fonction de leur commun baptême, est aussi structurée un de ses membres est chargé d’en assurer la présidence. Que de difficultés n’entend-on pas évoquer à ce propos.

  • La Maison-Dieu n° 315 : Le ministère diaconal dans la liturgie

    La Maison-Dieu poursuit son exploration ecclésiologique de la liturgie, cette fois sous un angle différent et complémentaire des précédents. Après LMD 313, Des ministères dans l’assemblée liturgique, abordant surtout le ministère de présidence et les enjeux d’une pluriministérialité[...]

  • La Maison-Dieu n°313 : Des ministères dans l’assemblée liturgique

    Le synode sur la synodalite engagé par le pape François pour l’Église universelle, commençant par des démarches diocésaines avec synthèses nationales puis continentales, a mis en avant un certain nombre d’interrogations, dont certaines touchent directement la liturgie. Le[...]

Lieu de la Présidence

  • « Le maître de chapelle – référentiel pour l’Église de France  » (2021)

    Par ce référentiel, la Commission épiscopale de liturgie et de pastorale sacramentelle (CELPS), propose des repères pour définir les différentes missions du maître de chapelle et les qualités et compétences requises pour exercer avec profit cette charge

  • L’orgue et l’organiste liturgique : bilans et perspectives

    Si l’on peut, sans trop de risques de se tromper, penser que la liturgie aura toujours besoin d’une personne référente pour le chant, et que des chanteurs auront toujours de la joie à associer leurs voix dans un ensemble, force est de constater que nous sommes dans une période de questionnement et de doute pour l’orgue et leurs organistes.

  • La chorale liturgique et le chef de chœur : bilans et perspectives

    On ne dira jamais assez la richesse humaine, sociale et musicale qui se vit à l’intérieur des chorales … quel que soit son potentiel technique. En se développement tout au long du XIXe siècle et dans la première moitié du XXe siècle la chorale a pu penser que la Réforme liturgique voulait se débarrasser d’elle en faveur seulement du chant d’assemblée.

  • Le chantre animateur de l’assemblée : bilans et perspectives

    L’animateur, la chorale et l’organiste sont les premiers collaborateurs du ministre pour le chant. Et les premiers serviteurs de l’assemblée chantante. Cinquante ans après le Concile Vatican II, il nous a paru souhaitable de tenter ensemble une synthèse critique :

  • L’art d’animer le chant de l’assemblée

    Pour qu’une animation se déroule correctement, il faut qu’on ait l’impression qu’elle n’a pas nécessité de préparation ! Or non seulement l’animateur aura reçu une formation, mais il aura préparé la cérémonie. Mieux il l’aura préparée, et moins l’assemblée sera gênée. La liturgie, l’art de célébrer, est l’art accommoder notre présence en assemblée à la présence du « Tout Autre ».

  • Interpréter l’ordinaire, réflexions d’un organiste

    Flûtes, cromornes, cornets, anches viennent à peine d’avoir coloré le temps de Noël, et me voici confronté au Temps ordinaire. Les pleins jeux et tutti ont accompagné la joie pascale, et déjà le Temps ordinaire s’annonce, un long temps ponctué de quelques fêtes.

  • Des rôles-clefs pour animer la liturgie : de l’animateur au chantre

    De l'animation de chant au ministère du chantre. Avant Vatican II, il y avait dans chaque paroisse, pour la messe chantée, un ou plusieurs chantres. Le chantre se situait dans le chœur, revêtu d'une soutane et d'un surplis. Son rôle consistait à répondre au prêtre dans les dialogues, à assurer l'exécution des pièces du "propre" de la messe et à dialoguer les chants "de l'Ordinaire" avec d'autres chantres ou un chœur de chanteuses situées dans la nef.

  • Le chant et le rôle de la chorale

    Qu’on l’appelle chorale, schola, chapelle musicale, chœur ou groupe de chanteurs, voilà un groupe auquel l’Eglise reconnaît une fonction liturgique. Qu’il remplisse cette fonction tous les dimanches, ou une fois par mois, ou aux fêtes seulement, ou seulement lors des célébrations diocésaines, ce groupe reçoit de l’Eglise une mission dont il semble utile de rappeler les contours.

  • La place et le choix des instruments dans une célébration

    Cet article, sous forme de témoignage, nous propose une immersion au cœur d'une équipe liturgique, lors de la préparation d'une célébration dominicale, du choix du répertoire et de la place de l'orchestre et des instruments.

  • De l’animateur au chantre : conduire le chant de l’assemblée

    Quelques points de repère pour conduire le chant de l'assemblée. Au cours des célébrations, on voit souvent intervenir, face aux fidèles, non seulement le prêtre et les lecteurs, mais aussi une personne qui invite l’assemblée à chanter.

  • Charte des organistes

    Trente cinq ans après le Concile, les évêques de France veulent reconnaître le travail des organistes et préciser avec eux leur mission. « On estimera hautement, dans l'Eglise latine, l'orgue à tuyaux comme l'instrument traditionnel dont le son peut ajouter un éclat admirable aux cérémonies de l'Eglise et élever puissamment les âmes vers Dieu et le ciel. [...]

  • Organiste : bouche-trou, service, savoir ?

    Mon propos sera aussi un cri et un appel. Depuis le Moyen Âge, les organistes se trouvent au cœur de l’action liturgique soit comme réponse alternative à l’office, soit comme interprète et improvisateur, soit comme accompagnateur, soit aussi comme compositeur d’un grand nombre de chef-d’œuvres de musique sacrée.

  • Lecteur, chanteur, célébrant : la voix dans la liturgie

    En prenant conscience de leur voix et en la travaillant, le lecteur, le chanteur, le célébrant pourront transformer bien des choses en eux-mêmes et permettre une écoute plus active de la parole de Dieu, une participation plus large de l’assemblée.

Musique et acteurs musicaux en liturgie, Collection « Guide Célébrer », Cerf, janvier 2014

  • La pastorale des servants d’Autel au service de la transformation missionnaire des paroisses

    Le P. Philémon MUTWARE s’est appuyé sur un lancement d’une pastorale des servants d’Autel pour élargir la vie paroissiale à toutes les générations. Dans les paroisses rurales les plus éloignées des grands centres urbains, la vitalité des paroisses n’est pas une fatalité. En quelques mots ils nous expliquent les étapes et les fruits attendus d’un tel renouvellement dynamique dont les fruits sont déjà visibles en quelques semaines.

  • Vivre l’Eucharistie comme servant d’autel

    Rassemblés pour célébrer : Les servants d’autel sont membres de l’assemblée même s’ils sont placés dans le sanctuaire de l’église. Les servants d’autel ont une fonction spéciale à jouer dans les célébrations liturgiques. Les servants d’autel participent activement à la prière de l’assemblée puisqu’ils en font partie : chants, prières communes, attitudes physiques.

  • Mystagogie et service de l’autel (3) : la catéchèse mystagogique en pratique

    Par le père Laurent Tournier, prêtre eudiste, ancien directeur adjoint du service national de la catéchèse et du catéchuménat. Le père Laurent Tournier est intervenu sur ce thème lors de journée nationale organisée par le SNPLS pour les référents diocésains Servants d'autel le mardi 6 juin 2017.

  • Mystagogie et service de l’autel (2) : préparer une catéchèse mystagogique

    Par le père Laurent Tournier, prêtre eudiste, ancien directeur adjoint du service national de la catéchèse et du catéchuménat. Le père Laurent Tournier est intervenu sur ce thème lors de journée nationale organisée par le SNPLS pour les référents diocésains Servants d'autel le mardi 6 juin 2017. Comment prépare-t-on une catéchèse mystagogique ?

  • Mystagogie et service de l’autel (1) : qu’est-ce que la catéchèse mystagogique ?

    Par le père Laurent Tournier, prêtre eudiste, ancien directeur adjoint du service national de la catéchèse et du catéchuménat. Le père Laurent Tournier est intervenu sur ce thème lors de journée nationale organisée par le SNPLS pour les référents diocésains Servants d'autel le mardi 6 juin 2017.

  • Le service de l’autel, lui donner un sens

    La pastorale du service à l’autel dépasse le seul service liturgique. Être servant d’autel, ce n’est pas uniquement être serviteur de la célébration. La pastorale du service à l’autel est un lieu de proposition et d’approfondissement de la foi chrétienne. Si les jeunes doivent y trouver une formation liturgique, ils vont également y recevoir une formation spirituelle, une certaine catéchèse, une expérience fraternelle de convivialité, de découverte et de vie en Église. Être servant, c’est répondre à l’appel de Dieu.

  • Le grand bonheur de servir

    Pourquoi es-tu servant d’autel ? Telle est la question que je souhaite te poser aujourd’hui. Pour ma part, j’y vois trois raisons : tu es servant d’autel à cause du Christ, à cause de l’Eglise et aussi à cause de toi-même.

  • La présence du servant d’autel à l’ambon

    Quel est le rôle des servants d'autel pendant la liturgie de la Parole ? Pourquoi se placent-ils auprès de l'ambon au cours de la célébration ?

  • Debout, assis, à genoux, différentes attitudes au cours de la célébration

    Au cours de la célébration eucharistique, des attitudes communes de tous les participants sont observées. Elles sont le signe de la communauté et de l’unité de l’assemblée, une expression universelle de la même foi. Chacun et ainsi engagé dans tout son être pour la rencontre avec Dieu. Quelles sont ces attitudes, ces positions corporelles et que signifient-elles ?

  • Le service de l’autel, un ministère ?

    En préalable, rappelons que la liturgie a aujourd’hui une place particulière dans la vie de l’Église. Dans ce monde très sécularisé dans lequel nous vivons, où il y a peu de pratiquants, pour beaucoup la liturgie est un lieu d’initiation à la vie chrétienne, l’expérience d’une première rencontre avec Dieu, l’entrée dans l’univers symbolique chrétien. Ceci confère à la liturgie une place importante dans l’annonce de l’Évangile, y compris pour les jeunes et les enfants.

  • Servants d’autel : le porte-missel

    Le missel (du latin missa qui signifie messe) est le livre regroupant les textes des lectures et prières constituant la liturgie de la messe pour tous les jours de l’année. Le porte-missel est chargé de porter le missel au célébrant pendant la messe.

  • Servants d’autel : le céroféraire ou « porteur de cierge »

    Le mot « céroféraire » tire son origine du grec kèros : « cire » et pherein : « porter ». Parmi les servants d'autel, le céroféraire est, littéralement, le « porteur de cierge ».

  • Servants d’autel : l’acolyte, celui qui accompagne

    Parmi les servants d'autel, quel rôle l'acolyte endosse-t-il au cours de la célébration liturgique ?

  • Les couleurs liturgiques expliquées aux servants d’autel

    Toi, qui sers la messe régulièrement, tu sais que la couleur des[...]

  • L’eau dans la liturgie

    Lorsque nous rentrons dans l'église nous faisons un petit geste qui paraît insignifiant, machinal. En fait, ce sont deux gestes en un :

  • Benoît XVI lors des vêpres à l'issue de la semaine de prière pour l'Unité des chrétiens en la bas.

    Des rôles-clefs pour animer la liturgie : le cérémoniaire

    Celui qui veille au bon déroulement : le cérémoniaire. Dans la « messe chantée » d’avant Vatican II, il y avait parmi les enfants de chœur, un cérémoniaire, censé guider les autres. Dans les célébrations épiscopales, un « maître des cérémonies » remplissait ce rôle.

Autres ressources

  • La composition florale en liturgie

    Les fleurs, dans une célébration, ne sont ni pur ornement ni homélie. Quel est leur rôle liturgique ? En lien avec la liturgie du dimanche ou de la fête célébrée, la composition florale est le fruit de la méditation des textes proposés par cette liturgie et de la prière contemplative, prière qui se prolonge au moment du choix des divers éléments, du contenant, des feuillages et des fleurs.

  • Trois fondamentaux pour « fleurir en liturgie »

    Cette intervention de Marie-Odile Lalo concluait la formation nationale du département Fleurir en liturgie de mars 2016. Dans le précédent article traitant du sens de la mission des personnes chargées du fleurissement de l’espace liturgique, l’accent est mis sur sept actions caractérisant cette mission. Nous voudrions maintenant dégager trois fondamentaux de « Fleurir en liturgie ».

  • Fleurir en liturgie : le sens de notre mission

    « Fleurir en liturgie » est un service d’Église contribuant à la beauté de la liturgie. Quelles sont les attitudes qui caractérisent ce service d’Église ?

  • Le jardin liturgique

    Depuis bientôt un demi-siècle, le renouveau de la liturgie et le partage accéléré des cultures ont fait naître un nouvel art floral liturgique. La composition florale est devenue un véritable acteur de la célébration.

  • La PGMR, texte de référence pour fleurir en liturgie

    L’art de célébrer la messe, présentation générale du Missel Romain (PGMR) est présent dans toutes les paroisses ; ce livre a pour but de commenter le Missel et donc le rituel de la Célébration.

  • Les fleurs au service de la vie spirituelle : retour sur les journées nationales « Fleurir en liturgie » 2023

    En cette fin d’année 2023, l’équipe nationale du service Fleurir en liturgie a convié les membres des équipes diocésaines et les responsables du fleurissement des cathédrales à une réflexion sur le thème : Les fleurs au service de la vie spirituelle.

  • Fleurir : la liturgie est première

    De l’Art floral au service de la Liturgie à « Fleurir en Liturgie », notre démarche a évolué. La liturgie est première et la technique florale est à son service. Il nous est indispensable de savoir :

  • Guides pratiques à l’intention des sacristains

    Pour éviter la panique lors de l’absence imprévue de la personne qui prépare d’habitude ce qui est nécessaire à la célébration, voici un petit pense-bête (non exhaustif) préparé par le diocèse de Paris à afficher dans la sacristie et à compléter … Le diocèse de Cambrai propose une guide pratique intitulé Les fiches du sacristain.

  • 15 août 2010 : Prière universelle lors de la messe du 15 août, Abbaye d'Ourscamp (60), France. August 15, 2010 : mass celebrated at Ourscamp abbey, France.

    Les acteurs de la liturgie manifestent la diaconie du Christ

    Dans la célébration chrétienne, tout disciple, suivant en cela l’exemple du Christ serviteur, est appelé à se mettre au service de l’assemblée. Ce ne sont donc pas les seuls ministères d’évêque, de prêtre ou de diacre qui manifestent, la diaconie du Christ. De multiples acteurs ont à cœur de la rendre visible dans l’action liturgique. Mais ce service de la diaconie ne saurait être un service ordinaire.

  • Un parrain, une marraine de baptême : quelle mission ?

    Il n’est pas rare que l’on téléphone à l’Évêché au sujet des parrains et marraines de baptême. Le plus souvent, c’est pour savoir à quelles conditions on peut être admis comme parrain ou marraine. Ces conditions sont énumérées dans le Code de Droit canonique.

  • Le ministre du baptême : qui baptise ?

    Nous ne nous posons guère de question à propos du ministre du sacrement de baptême : nos communautés sont, aujourd’hui, habituées à voir le diacre, et non plus seulement le prêtre, baptiser. Cependant, le cas du baptême est, parmi les sept sacrements, assez particulier à propos de cette question du « ministre » …

  • Les fonctions et ministères selon le Rituel de l’Initiation chrétienne

    Tous les rituels issus du Concile Vatican II comportent une partie qui porte ce titre, c’est dire l’importance que l’Église attache à la diversité des rôles. Dès le début de ce rituel qui concerne l’initiation chrétienne en général (voir le paragraphe 7), il est d’abord question du peuple de Dieu dans sa richesse et sa diversité.

  • Se « donne »-t-on vraiment le sacrement du mariage ?

    Il fut un temps où l’on trouvait fréquemment sur les faire-part de mariage : « Adélie et Ulysse se donneront le sacrement de mariage. » L’expression est moins fréquente aujourd’hui, et le Rituel du mariage actuel, qui date de 2005, y est sans doute pour quelque chose. A en considérer la structure et les acteurs, on peut comprendre pourquoi.