Autour de Desiderio desideravi et de la formation liturgique

Lettre apostolique Desiderio Desideravi sur la formation liturgique du peuple de Dieu (2022)

Le 29 juin 2022, solennité des saints Pierre et Paul apôtres, le pape François a publié une Lettre apostolique adressée aux évêques, prêtres et diacres, aux personnes consacrées mais aussi à l’ensemble des fidèles laïcs sur la formation liturgique du Peuple de Dieu. En 65 paragraphes, ce texte s’emploie à « raviver notre émerveillement pour la beauté de la vérité de la célébration chrétienne », en menant une longue réflexion s’appuyant sur les paroles de Jésus au début du récit de la Cène « J’ai désiré d’un grand désir (desiderio desideravi) manger cette Pâque avec vous avant de souffrir ! »
La Maison-Dieu n° 318 : Lecture commentée de la lettre du pape François sur la formation liturgique Desiderio desideravi

La Lettre apostolique du pape François sur la formation liturgique du peuple de Dieu, Desiderio desideravi, publiée le 29 juin 2022, est un texte d’une importance singulière pour les formateurs et les acteurs de la liturgie. À distance des polémiques, mais aussi de diverses décisions canoniques récentes, le pape relit le sens fondamental de la liturgie.
L’art de célébrer selon Desiderio desideravi (48-60)

Le pape François consacre la dernière partie de Desiderio desideravi, sa lettre apostolique sur la formation liturgique du peuple de Dieu (2022), à l’ars celebrandi. À distance aussi bien du rubricisme que de la créativité débridée, l’art de célébrer permet par sa justesse de donner leur sens aux rites célébrés.
« J’ai désiré d’un grand désir… » (Luc 22,15) Une première exploration de Desiderio Desideravi

Qu’il s’agisse de tendances de fond (l’individualisme ambiant…) ou de raisons plus conjoncturelles (les pandémies récentes, un changement de pasteur…), les évolutions de la société conduisent à « se déshabituer de la messe »
Présentation pastorale de Desiderio Desideravi

Qu’il s’agisse de tendances de fond (l’individualisme ambiant…) ou de raisons plus conjoncturelles (les pandémies récentes, un changement de pasteur…), les évolutions de la société conduisent à « se déshabituer de la messe »
La pastorale liturgique à l’heure de Desiderio desideravi selon Mgr Viola

Qu’il s’agisse de tendances de fond (l’individualisme ambiant…) ou de raisons plus conjoncturelles (les pandémies récentes, un changement de pasteur…), les évolutions de la société conduisent à « se déshabituer de la messe »
Fiches du SNPLS pour lire Desiderio desideravi entre acteurs de la liturgie

Qu’il s’agisse de tendances de fond (l’individualisme ambiant…) ou de raisons plus conjoncturelles (les pandémies récentes, un changement de pasteur…), les évolutions de la société conduisent à « se déshabituer de la messe »

Autour du Missel Romain

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Sur Narthex

L’art de célébrer à travers diverses formes de langage

L’ars celebrandi doit favoriser le sens du sacré et l’utilisation des formes extérieures qui éduquent à un tel sens, comme par exemple l’harmonie du rite, des vêtements liturgiques, de l’ameublement et du lieu sacré (… Il est) important d’être attentif à toutes les formes de langage prévues par la liturgie : parole et chant, gestes et silences, mouvements du corps, couleurs liturgiques des vêtements.
Célébrer dans l’espace liturgique

Pour que l’espace soit habité, il ne suffit pas que les différents lieux et pôles liturgiques soient ordonnés à l’assemblée. Encore faut-il que ces lieux soient utilisés, qu’on puisse circuler de l’un à l’autre, et que plus encore, ils soient disposés de telle manière que les déplacements et les circulations soient rendus presque indispensables et presque directement visibles même lorsqu’il n’y a pas de célébration.
Acteurs de la célébration

La célébration eucharistique est l’action du Christ et de l’Église qui est le peuple saint réuni et organisé sous l’autorité de l’évêque. C’est pourquoi elle concerne le Corps tout entier de l’Église ; elle le manifeste et l’affecte ; en réalité, elle atteint chacun de ses membres, de façon variée, selon la diversité des ordres, des fonctions et de leur participation effective [SC 26]. De cette manière, le peuple chrétien, « descendance élue, sacerdoce royal, nation sainte, peuple racheté », manifeste sa cohésion et son organisation hiérarchique [SC 14]. C’est pourquoi tous, ministres ordonnés ou fidèles laïcs, en accomplissant leur fonction ou leur office, feront tout ce qui leur revient, et cela seulement [SC 28].