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La mort n’est pas (que) la fin de vie
La mort devient la « fin de vie », on parle de nos « disparus »... Ces évolutions reflètent la recherche d’une certaine maîtrise de la mort dans la société. Elles impactent les demandes adressées à l’Église lors des funérailles. Éléments de repérage.
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La crémation et l’Église catholique
La crémation connaît une progression notable en France. Selon une enquête, quatre français sur dix optaient en 2023 pour cette pratique funéraire. Selon des estimations, cette option encore minoritaire ne le restera plus longtemps et devrait représenter la moitié au moins des obsèques en 2030. Quels facteurs expliquent cette évolution ? Quelle est la position de l’Église catholique ?
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Choisir la crémation pour partir sans déranger ?
Le choix de la crémation est basé sur des motivations diverses. Cependant la volonté de ne pas déranger et ensuite, de ne pas encombrer, apparaît être la motivation principale. (Enquête Credoc 2007). S’y greffent également l'indifférence face à un passage dans une église et l'incompréhension quant au fait qu'une célébration d'obsèques à l'église doit en principe précéder la crémation et non lui succéder.
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Crémation et deuil : quand le temps s’accélère
Lorsque la mort survient, elle modifie le rapport au temps. Quand la vie s’achève pour une personne, le temps s’arrête pour elle mais aussi pour son entourage.
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Crémation : « Que ferons-nous des cendres ? »
Lors des entretiens avec les familles en deuil, lorsque le défunt a souhaité une crémation, les équipes funérailles des paroisses entendent parfois la question : « Mais que ferons-nous des cendres ? ».