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Pastorale des funérailles et Pompes funèbres : apprendre à collaborer
Les funérailles sont en mutation en France. Alors pour l’Église et les sociétés de pompes funèbres, quel chemin commun ? Quels enjeux au service des familles en deuil et de l’annonce de l’espérance chrétienne ? On trouvera ici le récit d’une expérience vécue dans le diocèse d’Orléans en vue de (mieux) collaborer avec les sociétés de Pompes Funèbres dans le respect du rôle de chacun.
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Les funérailles : un itinéraire rituel, soutien d’un déplacement intérieur, fragilisé par la crémation ?
Depuis ses origines les plus anciennes, la liturgie des funérailles se présente comme un itinéraire rituel qui joue sur la mémoire des lieux. En modifiant le paysage traditionnel, le succès de la crémation fragilise le déplacement intérieur soutenu[...]
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La présence du corps du défunt dans les funérailles, annonce de la résurrection
Le succès de la crémation aujourd’hui n’est pas sans lien avec une vision du corps et un discours ambiant qui tantôt l’exalte, tantôt le marginalise comme insignifiant. Or, la liturgie des funérailles va à l’encontre de ce courant.[...]
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Le lectionnaire catholique des funérailles commenté texte après texte
Comment entendre ou faire entendre les textes bibliques comme des témoignages d’espérance ? Dans le numéro 193 des Cahiers Evangile (septembre 2020), le Service biblique catholique Évangile et Vie, du lectionnaire de la liturgie des funérailles,. On trouvera ici quelques extraits des 64 pages de ce cahier, qui offre une aide précieuse aux membres des équipes qui accompagnent les familles en deuil.
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Les gestes des funérailles
Le geste parle. Surtout quand la douleur rend muet. Le rituel des funérailles propose de nouveaux gestes, très éloquents. Louis Groslambert nous en rappelle le sens et attire notre attention sur la manière de les bien accomplir pour qu'ils soient prédication pascale.
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Choisir la crémation pour partir sans déranger ?
Le choix de la crémation est basé sur des motivations diverses. Cependant la volonté de ne pas déranger et ensuite, de ne pas encombrer, apparaît être la motivation principale. (Enquête Credoc 2007). S’y greffent également l'indifférence face à un passage dans une église et l'incompréhension quant au fait qu'une célébration d'obsèques à l'église doit en principe précéder la crémation et non lui succéder.
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Crémation et deuil : quand le temps s’accélère
Lorsque la mort survient, elle modifie le rapport au temps. Quand la vie s’achève pour une personne, le temps s’arrête pour elle mais aussi pour son entourage.
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Commentaire de la Parole par un laïc lors des funérailles
Commenter la Parole lors des funérailles : De quelle légitimité se revendiquer ? Comment faire ? La légitimité est donnée par le baptême et la lettre de mission.
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En célébration face au deuil : quel positionnement pour le musicien d’Église ?
Chantre du diocèse de Paris, ma fonction est de conduire le chant des funérailles. La charge affective des familles en deuil nécessite de trouver un équilibre entre juste distanciation du chagrin des autres et proximité de l’humanité partagée, prestation professionnelle bienséante et retrait de l’artiste pour servir l’espérance chrétienne.
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Assemblées occasionnelles : proposer le chant ; à quelles conditions ?
Lorsque l’on est en responsabilité de faire chanter une assemblée pour des funérailles, des mariages, des confirmations, des professions de foi, des baptêmes, la tâche paraît insurmontable. Souvent ces assemblées se réfugient dans une prudente réserve, et l’animateur a le sentiment de devoir réaliser un show solitaire.
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Funérailles : quand le corps est absent
Il arrive que le corps d'un défunt soit absent parce qu'il a disparu et que l'on n'a pu le retrouver. On connaît la douleur de familles qui doivent vivre la séparation, non seulement du fait de la brutalité de l'événement cause de la disparition mais aussi du fait de l'absence, de l'impossibilité de marquer la séparation par les rites funéraires.
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La tombe comme signe chrétien
La problématique chrétienne de l'art funéraire est prise comme en étau entre deux écueils : d'un côté insister trop lourdement sur la « différence chrétienne », comme si la foi rendait sans importance ces questions, ou au contraire comme si elle offrait un éclairage singulier permettant de résoudre toutes les questions; de l'autre, affirmer que devant la mort, le chrétien est d'abord un homme dont la tombe emprunte les schèmes habituels de sa culture. Le propos est moins ici de tracer une voie moyenne entre ce que l'on peut considérer comme deux excès, que tenter de fournir, à partir d'une réflexion anthropologique et théologique non explicitée faute d'espace, quelques repères utiles sur la question.
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La prière pour les morts : pourquoi et comment prier ?
Au début du mois de novembre, l'Église célèbre, dans deux fêtes conjointes, les saints et les défunts. Nous sommes invités, dans le même mouvement, à rendre grâce à Dieu pour les innombrables saints et saintes qu'il nous a donnés et à le prier pour la masse, innombrable elle aussi, des défunts que, nous le savons, Dieu n‘oublie pas.
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Liturgie des funérailles : prier pour les défunts, dans la foi et l’espérance
L’Eglise a pour vocation de porter les familles marquées par le deuil, c’est son ministère de compassion. Elle a aussi pour mission de prier pour les défunts dans la liturgie, que ce soit dans la célébration des funérailles ou dans la diversité des célébrations liturgiques. Pourquoi ?
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« Dans l’espérance chrétienne : Célébrations pour les défunts » (2008)
De nombreux laïcs participent aujourd’hui à la mission de l’Église en conduisant des funérailles, contribuant ainsi à manifester la compassion de l’Église aux familles en deuil et à annoncer l’espérance qu’ouvre la résurrection. Pour les aider, l’AELF a[...]
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Quelle place pour les équipes funérailles au crématorium ?
Doit-on accompagner les familles en deuil au crematorium ? Deux situations se rencontrent : être présents auprès des familles après la célébration à l'église ou conduire une prière directement au crematorium sans passer par l'église.