• La Maison-Dieu n°309 : Théologie du mariage, une théologie sacramentaire en recherche

    La théologie se trouve encouragée à relire la tradition longue de l’Église pour cultiver à nouveau les semences oubliées – un ouvrage qui demande du temps, du courage et de la patience. Puisse ce numéro y contribuer !

  • Le mariage, le sens des différentes étapes du rituel

    Acte d’alliance d’un homme et d’une femme unis par un même amour, le mariage est aussi le lieu d’une révélation.

  • La Maison-Dieu n°290 sur Musicam Sacram

    Un nouveau volume de La Maison-Dieu consacré à l’instruction Musicam Sacram vient de paraître aux éditions du Cerf. Ce numéro 290 propose des articles de recherches théologiques et pastorales.

  • La Maison-Dieu n°289 sur le mariage

    Un nouveau numéro de La Maison-Dieu consacré au mariage vient de paraître aux éditions du Cerf. 289ème du nom, il propose des articles de recherches théologiques et pastorales sur le sacrement de mariage.

  • Fleurir pour un mariage

    Comment les équipes liturgiques peuvent-elles accompagner le fleurissement de l’église lors de la célébration d’un mariage ?

  • Fonder le mariage : que requiert le droit canonique ?

    La question des prérequis au sacrement de mariage est régulièrement posée. Mais dans l’accompagnement pastoral des fiancés, il y a la tentation d’aller de suite à la catéchèse et à l’enseignement spirituel et liturgique, en oubliant que le mariage demeure le don naturel d’un homme et d’une femme voulu par Dieu dès la Création. Le mariage est le consentement à ce don ; don consacré par Dieu quand il est réalisé entre deux baptisés.

  • Célébrer le mariage : le rite de la bénédiction nuptiale

    « Le prêtre ou le diacre, debout et tourné vers l’épouse et l’époux, appelle sur eux la bénédiction de Dieu. Ce rite n’est jamais omis ». (R 176).

  • Célébrer le mariage : quand la bague devient alliance

    A la mairie, le « oui » prononcé devant Monsieur le Maire est suivi d’un échange de bague, sans formule particulière d’accompagnement à cet échange : on se « fait passer la bague au doigt », si l’on s’en tient à cette expression populaire signifiant que l’inconscient collectif voit dans le mariage une forme de privation de liberté personnelle plutôt que l’acte créateur d’une liberté nouvelle.

  • L’homélie de mariage

    Évoquer l’homélie de mariage aujourd’hui suppose d’avoir conscience de l’horizon dans lequel nous vivons. La prédication lors d’un mariage est devenue complexe pour plusieurs raisons :

  • Préparer les fiancés à la liturgie du mariage

    Le contexte paroissial de mon ministère est pauvre humainement et chrétiennement. Les deux tiers des personnes demandant le mariage à l’Église sont non catéchisées, et parmi celles-ci un quart sont non baptisées. Pour beaucoup, le lien à Dieu existe tout en étant ténu, et passe par l’Église à l’occasion du mariage. La culture liturgique de ces personnes est réduite à la participation à tel mariage ou sépulture ou baptême.

  • Célébrer le mariage : la sixième bénédiction nuptiale

    Autrefois, la bénédiction nuptiale consistait essentiellement en une bénédiction de l’épouse. Le rituel, édité pour la francophonie en 2005, introduit, en plus des cinq bénédictions du rituel romain, une sixième bénédiction qui lui est propre. Comment cette bénédiction est-elle construite ? Quelle est sa dynamique ? Quelles en sont les spécificités ?

  • Célébrer le mariage : s’ouvrir à la prière

    La liturgie du mariage s’appuie sur un certain nombre de textes de prière : oraison d’ouverture, bénédiction des alliances, bénédiction nuptiale, prière des époux, prière universelle, prières propres à la célébration eucharistique. Voilà, sans aucun doute, une occasion offerte aux futurs époux de découvrir ou d’approfondir la prière chrétienne dans toutes ses facettes. Peu d’entre eux ont régulièrement participé aux célébrations depuis leur adolescence et le contexte propre aux mariages rend souvent difficile une atmosphère de recueillement. Leur faire découvrir les textes des prières enrichira leur perception du mariage ; cela leur permettra, et c’est essentiel, de retrouver la posture de la prière.

  • Célébrer le mariage : les formes de la prière

    Même si l’ensemble de la célébration sacramentelle est louange à Dieu et action de grâce, le rituel prévoit des temps plus spécifiques pour la prière des époux et de l’assemblée : la prière des époux, la prière universelle, le Notre Père. La succession de ces trois moments est souvent difficile à gérer. Pourtant, nous sommes en présence de trois formes assez différentes de prière destinées à des acteurs différents.

  • Soigner la ritualité lors des célébrations de mariage

    La diversité des assemblées de mariage nous invite à soigner particulièrement la ritualité pour permettre à la célébration d’être un temps d’intériorité.

  • Après la célébration du mariage, poursuivre le chemin

    Pour beaucoup de couples, parfois même pour les acteurs pastoraux, la célébration du mariage est l’aboutissement du chemin de préparation, clôturant ainsi un état antérieur et inaugurant un nouvel état matrimonial. Cette manière de penser la célébration liturgique n’est pas fausse, mais elle occulte le fait que toute célébration liturgique est  à la fois « source et sommet » de la vie chrétienne.

  • Préparation et célébration du mariage : cheminer avec la Parole de Dieu

    Par Serge Kerrien, Diacre du diocèse de Saint Brieuc-Tréguier « Dans la préparation, […] les pasteurs s’efforceront d’évangéliser chez les futurs époux, dans la lumière de la foi, un amour mutuel et authentique. » « C’est avec les futurs époux eux-mêmes, selon l’opportunité, que l’on choisira les lectures d’Écriture Sainte qui seront expliquées dans l’homélie. » (Rituel du mariage n°20 […]

  • Comment accompagner les fiancés dans leur cheminement vers le mariage ?

    « Pour une bonne préparation au mariage, un temps suffisant est nécessaire » disent les préliminaires du Rituel au numéro 15. Ce temps comportera donc tout un cheminement qui permettra aux fiancés de renouveler leur foi et de donner un nouvel élan à leur vie chrétienne.

  • Célébrer le mariage : accueil et rites d’ouverture

    Toute célébration liturgique commence par l’accueil, dont on ne mesure pas toujours l’importance. Ce temps donnera tout son sens à la demande sacramentelle, si les deux sont mis en écho, dans la célébration du mariage. C’est le moment où se joue souvent la qualité de la prière et l’attitude d’une assemblée trop rarement partie-prenante.

  • Fiançailles et anniversaires de mariage : des étapes sur un itinéraire

    Nous voici au terme de notre exploration du Rituel romain de la célébration du mariage et des possibilités qu’il offre pour préparer la célébration du sacrement. C’est un véritable itinéraire d’approfondissement de la foi que l’Église propose à celles et ceux qui viennent demander le sacrement. Cependant, la tentation reste forte encore de considérer la célébration du mariage comme un événement ponctuel, clos sur lui-même, en quelque sorte la « cerise sur le gâteau ».

  • Se « donne »-t-on vraiment le sacrement du mariage ?

    Il fut un temps où l’on trouvait fréquemment sur les faire-part de mariage : « Adélie et Ulysse se donneront le sacrement de mariage. » L’expression est moins fréquente aujourd’hui, et le Rituel du mariage actuel, qui date de 2005, y est sans doute pour quelque chose. A en considérer la structure et les acteurs, on peut comprendre pourquoi.

  • Le mariage, acte d’espérance

    Dans ce texte, Mgr Vingt-Trois, archevêque de Paris présente trois textes votés par les évêques de France en 2002 et qui, réunis, forment un acte d’espérance :

  • Chants et musique dans les célébrations de mariage

    A l’occasion d’une célébration de mariage, les responsables – pasteurs comme musiciens – se trouvent confrontés à des situations parfois délicates. Il s’agit de faire preuve d’un bel esprit de discernement qui cherche à accueillir les fiancés tels qu’ils sont et à les faire entrer dans le mystère du sacrement.

  • Quelques pistes sur la musique aux mariages

    Les choix musicaux sont à la fois espaces de liberté et contraintes liturgiques : l’Eglise n’écarte des actions liturgiques aucun genre de musique sacrée pourvu qu’il s’accorde avec l’esprit de l’action liturgique elle-même (…) Affaire d’adéquation plus que de goût (donc de formation tant musicale que liturgique) pour que, le prêtre accompagnateur, l’équipe qui prépare, ou les fiancés eux-mêmes puissent discerner et choisir en connaissant ce que chaque moment exprime du rituel.

  • Les mariages mixtes

    Les mariages mixtes désignent les mariages d’un catholique et d’un non-catholique. Il s’agit donc du mariage de deux baptisés. On les distingue des « mariages dispars » qui désignent les mariages entre un catholique et un non baptisé.

  • Le sacrement de mariage, un acte d’Eglise

    Si le mariage est un sacrement, c’est qu’il est un événement ecclésial, comme tous les sacrements. Le faire percevoir est essentiel, car la privatisation du mariage est une réelle tentation aujourd’hui. Or il arrive souvent que notre langage, loin de clarifier la dimension ecclésiale du sacrement de mariage, l’obscurcisse. Tel est le cas lorsque l’on dit par exemple que les conjoints « se donnent » ou « s’échangent » le sacrement. Un peu de précision s’impose.