• Catéchèse du pape : Le Notre Père et l’eucharistie

    Chers frères et sœurs, bonjour ! Nous poursuivons nos catéchèses sur la Sainte messe. Lors de la dernière Cène, Jésus prit le pain et la coupe, il rendit grâce à Dieu, et nous savons qu’ensuite il « rompit le pain ». À cette action correspond, dans la liturgie eucharistique de la messe, la fraction du pain. Elle est précédée de la prière que le Seigneur nous a enseignée, le « Notre Père »

  • Catéchèse du pape : La prière eucharistique, « raison même de la célébration »

    Lors de l’audience générale, le Pape François a poursuivi son cycle de catéchèses dédiées à la messe. Il est revenu ce mercredi 7 mars, salle Paul VI, sur la prière eucharistique.

  • Catéchèse du pape sur l’eucharistie : Recevoir en abondance la Parole de Dieu

    Cette catéchèse consacrée à la liturgie de la Parole fait partie d’un cycle d’enseignements du pape François sur la messe et l’eucharistie.

  • Catéchèse du pape : « Dans le silence, écouter la voix de l’Esprit Saint »

    Le pape François a voulu consacrer un cycle de catéchèses à la messe et l’eucharistie lors des audiences du mercredi. Après plusieurs catéchèses sur l’ouverture de la célébration, il poursuit son enseignement sur les rites initiaux en parlant du Gloria, du silence et de la Prière d’ouverture ou Collecte.

  • Catéchèse du pape : « Que peut donner le Seigneur à celui qui a le cœur plein de lui-même ? »

    Cette première audience de l’année s’inscrit dans un cycle de catéchèses données par le pape François sur la messe et l’eucharistie. En ce 3 janvier 2018, le Saint Père se penche cette fois sur le sens de l’acte pénitentiel, au début de la célébration eucharistique.

  • Catéchèse du pape : « Ne pas arriver en retard à la messe mais en avance »

    Le 20 décembre 2017, dans la sixième catéchèse d’un cycle d’enseignements consacrés à la messe et l’eucharistie, le pape présente les rites d’introduction de la célébration eucharistique et insiste plus particulièrement du signe de la croix.

  • Catéchèse du pape sur l’eucharistie : Pourquoi aller à la messe le dimanche ?

    Le dimanche, « premier jour de la semaine », « jour du soleil », « Jour du Seigneur » … dans cette catéchèse, le pape François rappelle l’origine de la sanctification du dimanche avec la célébration de l’Eucharistie, et l’importance du repos dominical.

  • Noël : la messe de la nuit et la messe du jour

    Une seule fête et plusieurs célébrations eucharistiques : petits rappels liturgiques sur la messe de la nuit et la messe du jour de Noël.

  • Catéchèse du pape : « Lors de la messe, entrer dans la victoire du Ressuscité »

    Ce propos du pape François est le troisième du cycle de catéchèses données par le pape François sur la messe et l’eucharistie.
    « La messe est le mémorial du Mystère pascal du Christ »

  • De l’usage du baptistère en dehors du baptême

    Depuis quelques années, les communautés chrétiennes ont pris conscience de l’importance du lieu du baptême. Et même si certains baptistères sont encore délaissés ou encombrés d’objets de toutes sortes, les curés et leurs équipes pastorales ont cherché et cherchent à redonner au baptistère toute sa place dans l’espace liturgique.

  • Catéchèse du pape : « A la messe, élevons nos cœurs, pas nos téléphones »

    Une catéchèse du pape François qui introduisait un cycle de catéchèses sur l’Eucharistie, le « cœur de l’Eglise ». Une invitation du pape à « redécouvrir la beauté qui se cache dans la célébration eucharistique et qui, une fois dévoilée, donne tout son sens à la vie de chaque personne ».

  • Notre Père et éthique

    Pour bien situer la dimension éthique du Notre Père, il faut avoir à l’esprit que son registre propre est la prière, et non l’éthique. Cependant quelques points communs les rapprochent.

  • Le Notre Père dans les rites de communion

    Dans la célébration de la messe, la communion apparaît comme l’aboutissement de toute la célébration et le sommet de la participation des fidèles. Elle est préparée par un ensemble de rites qui n’empiètent pas les uns sur les autres, mais forment une suite ordonnée préparant et anticipant ce que la communion va réaliser : faire de fidèles divers et variés un seul corps, celui du Christ.

  • Le grand bonheur de servir

    Pourquoi es-tu servant d’autel ? Telle est la question que je souhaite te poser aujourd’hui. Pour ma part, j’y vois trois raisons : tu es servant d’autel à cause du Christ, à cause de l’Eglise et aussi à cause de toi-même.

  • La présence du servant d’autel à l’ambon

    Quel est le rôle des servants d’autel pendant la liturgie de la Parole ? Pourquoi se placent-ils auprès de l’ambon au cours de la célébration ?

  • Debout, assis, à genoux, différentes attitudes au cours de la célébration

    Au cours de la célébration eucharistique, des attitudes communes de tous les participants sont observées. Elles sont le signe de la communauté et de l’unité de l’assemblée, une expression universelle de la même foi. Chacun et ainsi engagé dans tout son être pour la rencontre avec Dieu. Quelles sont ces attitudes, ces positions corporelles et que signifient-elles ?

  • Servants d’autel : le porte-missel

    Le missel (du latin missa qui signifie messe) est le livre regroupant les textes des lectures et prières constituant la liturgie de la messe pour tous les jours de l’année. Le porte-missel est chargé de porter le missel au célébrant pendant la messe.

  • Servants d’autel : le céroféraire ou « porteur de cierge »

    Le mot « céroféraire » tire son origine du grec kèros : « cire » et pherein : « porter ». Parmi les servants d’autel, le céroféraire est, littéralement, le « porteur de cierge ».

  • Interpréter l’ordinaire, réflexions d’un organiste

    Flûtes, cromornes, cornets, anches viennent à peine d’avoir coloré le temps de Noël, et me voici confronté au Temps ordinaire. Les pleins jeux et tutti ont accompagné la joie pascale, et déjà le Temps ordinaire s’annonce, un long temps ponctué de quelques fêtes.

  • Des rôles-clefs pour animer la liturgie : de l’animateur au chantre

    De l’animation de chant au ministère du chantre. Avant Vatican II, il y avait dans chaque paroisse, pour la messe chantée, un ou plusieurs chantres. Le chantre se situait dans le chœur, revêtu d’une soutane et d’un surplis. Son rôle consistait à répondre au prêtre dans les dialogues, à assurer l’exécution des pièces du « propre » de la messe et à dialoguer les chants « de l’Ordinaire » avec d’autres chantres ou un chœur de chanteuses situées dans la nef.

  • Quand les hommes se rassemblent

    Espace, fonction, signification : Quand des hommes se rassemblent, ils occupent un espace délimité, qu’il soit à ciel ouvert ou abrité. On peut, dans chaque cas, mesurer cet espace et le circonscrire. C’est le point de vue de l’encombrement, de la superficie ou du volume occupés.

  • Le chant après la Parole

    Par Louis Groslambert, Prêtre, responsable de la PLS et de la musique liturgique du diocèse de Belfort-Montbéliard   Beaucoup de pratiquants trouvent intéressante la liturgie de la Parole parce que, chaque dimanche, ils reçoivent des messages nouveaux. Ce constat réjouissant peut indiquer que, dans nos liturgies, on s’adresse surtout à l’intelligence comme on le ferait dans […]

  • Travailler à partir du programme de chant

    Chorale pendant la messe Par Pierre Fourney, († 2015) ancien responsable de musique liturgique au diocèse de Dijon   Tout reste à faire ! Depuis le Concile Vatican II, et l’extraordinaire foisonnement du répertoire liturgique, une grande partie du travail des responsables a dû être investi dans le choix des chants. Aussi, lorsqu’une équipe liturgique a […]

  • Le chant des ministres ordonnés dans l’eucharistie

    On s’est beaucoup appliqué à parler du chant des fidèles, du rôle de la chorale et de l’intérêt de disposer de bons chantres. Peut-être a-t-on négligé le chant du ministre ordonné. Si ce ministre n’est pas vocalement défaillant, qu’apporte le chant ?

  • Tout le monde ne chante pas tout

    Après Vatican II, l’assemblée, dans nos églises, s’est emparée avec enthousiasme du chant et a cru de bonne foi qu’il lui revenait de tout chanter à la messe, puisqu’on lui demandait une « participation active ».