• Le Notre Père dans les rites de communion

    Dans la célébration de la messe, la communion apparaît comme l’aboutissement de toute la célébration et le sommet de la participation des fidèles. Elle est préparée par un ensemble de rites qui n’empiètent pas les uns sur les autres, mais forment une suite ordonnée préparant et anticipant ce que la communion va réaliser : faire de fidèles divers et variés un seul corps, celui du Christ.

  • Le grand bonheur de servir

    Pourquoi es-tu servant d’autel ? Telle est la question que je souhaite te poser aujourd’hui. Pour ma part, j’y vois trois raisons : tu es servant d’autel à cause du Christ, à cause de l’Eglise et aussi à cause de toi-même.

  • La présence du servant d’autel à l’ambon

    Quel est le rôle des servants d’autel pendant la liturgie de la Parole ? Pourquoi se placent-ils auprès de l’ambon au cours de la célébration ?

  • Debout, assis, à genoux, différentes attitudes au cours de la célébration

    Au cours de la célébration eucharistique, des attitudes communes de tous les participants sont observées. Elles sont le signe de la communauté et de l’unité de l’assemblée, une expression universelle de la même foi. Chacun et ainsi engagé dans tout son être pour la rencontre avec Dieu. Quelles sont ces attitudes, ces positions corporelles et que signifient-elles ?

  • Servants d’autel : le porte-missel

    Le missel (du latin missa qui signifie messe) est le livre regroupant les textes des lectures et prières constituant la liturgie de la messe pour tous les jours de l’année. Le porte-missel est chargé de porter le missel au célébrant pendant la messe.

  • Servants d’autel : le céroféraire ou « porteur de cierge »

    Le mot « céroféraire » tire son origine du grec kèros : « cire » et pherein : « porter ». Parmi les servants d’autel, le céroféraire est, littéralement, le « porteur de cierge ».

  • Interpréter l’ordinaire, réflexions d’un organiste

    Flûtes, cromornes, cornets, anches viennent à peine d’avoir coloré le temps de Noël, et me voici confronté au Temps ordinaire. Les pleins jeux et tutti ont accompagné la joie pascale, et déjà le Temps ordinaire s’annonce, un long temps ponctué de quelques fêtes.

  • Des rôles-clefs pour animer la liturgie : de l’animateur au chantre

    De l’animation de chant au ministère du chantre. Avant Vatican II, il y avait dans chaque paroisse, pour la messe chantée, un ou plusieurs chantres. Le chantre se situait dans le chœur, revêtu d’une soutane et d’un surplis. Son rôle consistait à répondre au prêtre dans les dialogues, à assurer l’exécution des pièces du « propre » de la messe et à dialoguer les chants « de l’Ordinaire » avec d’autres chantres ou un chœur de chanteuses situées dans la nef.

  • Quand les hommes se rassemblent

    Espace, fonction, signification : Quand des hommes se rassemblent, ils occupent un espace délimité, qu’il soit à ciel ouvert ou abrité. On peut, dans chaque cas, mesurer cet espace et le circonscrire. C’est le point de vue de l’encombrement, de la superficie ou du volume occupés.

  • Le chant après la Parole

    Par Louis Groslambert, Prêtre, responsable de la PLS et de la musique liturgique du diocèse de Belfort-Montbéliard   Beaucoup de pratiquants trouvent intéressante la liturgie de la Parole parce que, chaque dimanche, ils reçoivent des messages nouveaux. Ce constat réjouissant peut indiquer que, dans nos liturgies, on s’adresse surtout à l’intelligence comme on le ferait dans […]

  • Travailler à partir du programme de chant

    Chorale pendant la messe Par Pierre Fourney, († 2015) ancien responsable de musique liturgique au diocèse de Dijon   Tout reste à faire ! Depuis le Concile Vatican II, et l’extraordinaire foisonnement du répertoire liturgique, une grande partie du travail des responsables a dû être investi dans le choix des chants. Aussi, lorsqu’une équipe liturgique a […]

  • Le chant des ministres ordonnés dans l’eucharistie

    On s’est beaucoup appliqué à parler du chant des fidèles, du rôle de la chorale et de l’intérêt de disposer de bons chantres. Peut-être a-t-on négligé le chant du ministre ordonné. Si ce ministre n’est pas vocalement défaillant, qu’apporte le chant ?

  • Tout le monde ne chante pas tout

    Après Vatican II, l’assemblée, dans nos églises, s’est emparée avec enthousiasme du chant et a cru de bonne foi qu’il lui revenait de tout chanter à la messe, puisqu’on lui demandait une « participation active ».

  • La participation active des fidèles durant la messe

    « La mère Église désire beaucoup que tous les fidèles soient amenés à cette participation pleine, consciente et active, aux célébrations liturgiques qui est demandée par la nature de la liturgie elle-même et qui est, en vertu de son baptême, un droit et un devoir pour le peuple chrétien » (Constitution sur la liturgie, n°14). Cette demande du Concile, bien reçue dans les communautés chrétiennes, suppose que chacun comprenne ce dont il s’agit lorsqu’on évoque la participation active des fidèles.

  • Le chant et le rôle de la chorale

    Qu’on l’appelle chorale, schola, chapelle musicale, chœur ou groupe de chanteurs, voilà un groupe auquel l’Eglise reconnaît une fonction liturgique. Qu’il remplisse cette fonction tous les dimanches, ou une fois par mois, ou aux fêtes seulement, ou seulement lors des célébrations diocésaines, ce groupe reçoit de l’Eglise une mission dont il semble utile de rappeler les contours.

  • Du bon usage de la prière universelle

    14 août 2009: Intentions de prières lors des Vêpres solennelles, Notre Dame de Paris (75), France. August 14, 2009: vesper prayer at Notre Dame de Paris cath., Paris (75), France.

    En restaurant la liturgie de la Parole, la réforme liturgique de Vatican II ne s’est pas contentée d’augmenter le nombre de lectures, d’en élargir le choix et, surtout, de les présenter en langues vivantes ; elle a rétabli une structure de dialogue où toute l’assemblée répond à la parole de Dieu qu’elle reçoit. La prière universelle, par laquelle l’assemblée transforme la Parole en supplication, en constitue le sommet.

  • Accomplissement des écritures et liturgie dominicale

    « Accomplir les Écritures : depuis quelques années, cette formule attire et inquiète. » Présentant en ces termes le deuxième volume du grand œuvre de Paul Beauchamp, L’Un et l’Autre Testament : 2. Accomplir les Écritures, l’éditeur souligne la difficulté d’aborder un motif, dont on pressent par ailleurs l’intérêt, voire l’actualité, eu égard aux nouvelles perspectives affectant la théologie biblique.

  • La fraction du pain et sa signification

    « La nuit qu’il fut livré, Jésus rompit le pain » (1 Co 11, 23). Après sa résurrection, raconte Luc, les disciples le reconnurent à la fraction du pain (Lc 24, 35). Qu’en est-il de ce geste si significatif qui guérira les disciples de leur aveuglement ? Pourquoi un tel décalage entre cet événement et nos célébrations où la fraction du pain passe si souvent inaperçue ? En a-t-il toujours été ainsi ?

  • La Parole de Dieu dans la liturgie

    L’un des grands textes du Concile Vatican II, la constitution dogmatique sur la Révélation Dei Verbum, attire l’attention sur le lien profond qui unit Révélation et Incarnation

  • Mise en œuvre de la liturgie de la Parole

    Dans la liturgie de la Parole1, les paroles sont bien sûr essentielles. C’est la parole de Dieu transmise dans les lectures ; ce sont les paroles de l’assemblées qui répondent à la parole de Dieu dans un admirable dialogue ; ce sont les paroles qui prolongent la Parole, comme l’homélie. Mais comme dans les autres parties de la célébration, le chant tient une place appréciable dans la liturgie de la Parole.

  • La dimension missionnaire de l’Eucharistie

    La liturgie – et plus particulièrement l’eucharistie – est le sommet auquel tend toute l’action de l’Église et en même temps la source d’où découle toute sa vertu ». Cette affirmation du dernier Concile est maintenant bien connue ; cependant, nous n’avons pas encore fini d’en mesurer toute la portée concrète. Puisque l’Église est toute entière missionnaire, que la mission correspond à sa nature même, il est aisé d’en déduire que l’eucharistie est source et sommet de la mission.

  • L’ordinaire de la messe, du temps, du lieu

    temps ordinaire

    Par Serge Kerrien, Diacre permanent et délégué épiscopal au diocèse de Saint-Brieuc pour les questions de catéchèse et catéchuménat, pastorale sacramentelle et liturgique, formation, pèlerinages et pardons   Le dictionnaire définit généralement « l’ordinaire » comme ce qui est habituel, sans grande surprise. A la limite, on penserait assez vite que ce qui est ordinaire ne présente […]

  • Chant d’envoi ou chant de sortie ?

    Quand on entend « chant d’envoi », on entend « fin de la célébration ». Le texte dira bien souvent que, par les fruits reçus à l’eucharistie, nous devons être missionnaires de la Bonne Nouvelle !

  • Chant et silence dans la liturgie

    Le titre pourrait sembler paradoxal. Pourtant, lorsque l’on parle du chant et de son rapport à la liturgie, la question du silence devient incontournable. Pourtant le silence fait partie intégrante de l’acte liturgique et de toute action musicale. Et l’expérience du silence est nécessaire pour que le chant prenne toute sa dimension.

  • L’Agneau de Dieu et la fraction du pain

    « La fraction de pain commence après le rite de paix […] L’invocation « Agneau de Dieu » est ordinairement chantée par la chorale ou le chantre et le peuple y répond ou bien elle est dite à haute voix. Cette invocation accompagne la fraction du pain et peut donc être répétée autant de fois qu’il est nécessaire jusqu’à ce que le rite soit achevé.