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La psychologie du deuil en quatre étapes
La perte d’un être cher provoque chez la personne endeuillée un choc qui déstabilise plus ou moins profondément l’équilibre personnel et les relations. L’expression courante « faire son deuil » dit maladroitement le processus psychologique qui permet peu à peu à chacun de se reconstruire pour retrouver un nouvel équilibre. Mais la perte d’un proche n’est jamais l’oubli et la reconstruction à opérer n’est jamais un retour à la stabilité connue avant l’épreuve.
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La rencontre des familles par ceux qui préparent la célébration des funérailles
Le besoin d’écoute et de communion est immense. Nous le voyons bien à la lumière des tragédies de notre temps.
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L’écoute des familles en deuil
Voici quelques aspects de la rencontre avec les familles à partir de l’expérience de l’auteur. Les attitudes d’accueil constituent le premier témoignage de la présence des chrétiens à ceux qui connaissent un deuil.
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Accompagner les familles en deuil : un ministère de compassion
Si le ministère de la compassion fait partie intégrante de la mission presbytérale, le Concile Vatican II rappelle la responsabilité de chaque chrétien à être signe du Christ plein de compassion à l'égard de ceux qui sont blessés par la mort d'un enfant, d’un parent, d'un ami.
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Travail de deuil, rituels et espérance chrétienne
La connaissance de ce que l’on appelle « travail de deuil » facilite l’accompagnement des familles tant dans sa phase rituelle que dans l’écoute ; c’est un outil qui rend compte d’un processus de déconstruction-reconstruction ou encore de séparation.
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Comment prendre en compte la vie du défunt dans la pastorale des funérailles ?
Lors des funérailles chrétiennes, l’Église exerce un service de compassion et de prière auprès des personnes et des familles touchées par la mort et qui affrontent une épreuve. Les vivants ont un intense besoin d’entendre des mots vrais sur le sens profond de leur propre vie (cf. Gaudium et Spes (GS) n°18).
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Ritualiser le deuil d’un bébé mort-né
Le fait de lui donner un prénom, de le faire habiller, de le toucher, de rester un moment avec lui et de l’inhumer marquent autant d’étapes dans le deuil. Et si l’enfant mort ne peut être baptisé, il est tout au moins possible d’organiser un rite d’adieu selon la volonté et la religion des parents.
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Documents Épiscopat, 2014 : Accompagner la pratique de la crémation
Ce numéro de Documents Episcopat est paru en 2014. Ouvrage collectif, il a été publié sous la responsabilité de Mgr Bernard-Nicolas Aubertin sous le titre Accueillir et accompagner la pratique de la crémation : Evaluations en cours et réflexions liturgiques.