• La prière des Heures : service de l’union avec Dieu et de l’unité du genre humain

    Dans le monde contemporain, la célébration de la Liturgie des Heures, appuyée sur la prière des psaumes, offre un chemin privilégié pour réaliser la définition du mystère de l’Église qui se trouve au début de la Constitution Lumen Gentium : « En annonçant l’Évangile à toute créature (cf. Mc 16, 15), le saint Concile (…) désire […]

  • La liturgie des Heures : un don de l’Église

    La prière est au cœur de la vie chrétienne et beaucoup donne, chaque jour, un temps plus ou moins long à la prière. Mais de quoi parlons-nous lorsque nous employons l’expression la « Prière de l’Église » ?

  • Ensemble, célébrer la Parole

    La liturgie des Heures requiert le rassemblement, la participation active de chacun, intérieure et extérieure, pour que l’âme se mette en mouvement de rencontre divine, en mouvement de prière.

  • Vivre en communion : célébrer la liturgie des Heures

    Vous trouverez ici un guide pratique pour célébrer la liturgie des Heures, afin de rester en communion en dehors de la messe.

  • Vivre en communion : célébrer une liturgie domestique

    Vous trouverez ici un guide pratique pour célébrer une liturgie domestique, afin de rester en communion en dehors de la messe.

  • Fleurir pour la Liturgie des Heures

    La Liturgie des Heures, en lien avec la lumière du jour et la tombée de la nuit, rythme et alimente les différents moments de la journée des moines, moniales, religieux, religieuses, prêtres et diacres. Elle est peu répandue dans nos paroisses, mais depuis Vatican II , chaque chrétien est invité à ce dialogue journalier, communautaire entre Dieu et les hommes.

  • Le Carême, un temps pour se préparer dans la prière

    Le Carême, temps de préparation à la fête de Pâques, est un temps de conversion. Il repose sur la prière, la pénitence et le partage. La pénitence n’est pas une fin en soi, mais la recherche d’une plus grande disponibilité intérieure.

  • L’origine biblique de la prière des Heures

    La liturgie des Heures tire son origine de la Bible. Au temps où vivait Jésus, la journée de l’homme juif religieux était rythmée par trois temps de prière.

  • La place du Notre Père dans la liturgie

    Une des attestations les plus anciennes de l’insertion du Notre Père dans la liturgie eucharistique se trouve chez saint Ambroise. S’adressant aux néophytes, il dit : « Lève donc les yeux vers le Père qui t’a engendré par le bain, vers le Père qui t’a racheté par son Fils et dis : « Notre Père ! »

  • La prière des Heures à travers les siècles

    La liturgie des Heures des premiers siècles à aujourd’hui.

  • Prière à l’occasion du lancement d’une activité

    Comment aider un groupe paroissial qui a reçu une mission apostolique ou caritative à démarrer son activité ou à lancer l’année pastorale ? En complément du dialogue pastoral autour de la mission, envisager un temps de prière pourra aider ce groupe à s’en remettre à Dieu afin que « toutes nos activités prennent leur source en toi et reçoivent de toi leur achèvement ».

  • La Parole de Dieu et son répons, au centre de la Liturgie des Heures

    La Bible

    Pourquoi ici une étude spéciale de la parole de Dieu avec son répons, comme si, à l’office, cette Parole était seulement présente dans la lecture qui en est proposée au centre de chaque heure ? N’en sont-ils pas issus les psaumes, les cantiques de l’Ancien et du Nouveau Testament, le Notre Père, et ces « morceaux choisis » que sont les antiennes et les versets ?

  • L’origine de la prière des Heures dans l’Église

    « Que je vive et que mon âme te loue ! » (Ps 118, 175) La liturgie des Heures, cette prière mal connue et parfois mal aimée, plonge ses racines dans l’expérience bouleversante de la rencontre du Christ ressuscité. C’est là qu’elle se tient et se maintient depuis l’origine ; c’est là qu’elle conduit le priant d’hier et d’aujourd’hui.

  • La liturgie des Heures, œuvre du Christ et de l’Église

    Que la liturgie des Heures soit la prière officielle de l’Église peut faire croire à certains qu’elle est impersonnelle et ritualiste. Il est vrai qu’elle existe en sa structure avant de devenir la prière de chacun et que nous la recevons d’une Église de priants qui nous a précédés. En cela même, elle nous fait entrer dans l’incomparable trésor spirituel.

  • Du silence dans la prière

    La prière jaillit du silence, se nourrit du silence et y conduit. Le cri qui ouvre la prière matinale ne peut jaillir que d’un silence : silence de la nuit, silence de la création, silence de la créature. Et déjà ce silence est prière ; sans lui, la Parole ne pourrait pas se dire. Après le mystère de la nuit, le mystère de l’espérance de l’aube entre dans nos vies et féconde un silence de foi. Tantôt c’est l’Esprit qui fait « surgir dans le silence la Parole qui nous recrée », Esprit qui « fait tressaillir le silence au fond de toute créature ». Tantôt c’est l’Emmanuel « Jésus, Verbe et réponse, qui vient ébranler nos silences [pour] libérer notre voix ».

  • La liturgie des Heures, « un trésor de vie spirituelle »

    Pour comprendre le chemin spirituel que trace la liturgie des Heures, il convient de mettre de côté toutes les images que nous en avons, toutes les expériences que nous avons vécues ici ou là, pour revenir à la source même de ce qui la constitue prière de l’Église.

  • Le psaume invitatoire, psaume de la première Heure

    Faut-il vraiment un psaume invitatoire ? Un psaume en plus, vous n’y pensez pas ! Penser ainsi obligation et quantité démolit la liturgie, en fait un devoir pesant. Alors que la liturgie des heures nous est offerte comme nourriture quotidienne pour notre vie spirituelle.

  • « Seigneur, ouvre mes lèvres »

    « Seigneur, ouvre mes lèvres ! » Ce sont là, chaque matin, les premiers mots de la liturgie des Heures. Lorsque l’on dit « Ouvrez donc les yeux ! », les yeux sont le symbole de l’intelligence. De même l’ouverture des lèvres est ici le symbole de toute parole de louange adressée à Dieu.

  • Prier les Complies entre colocataires

    Témoignages de Claire, Béatrice, Nathalie, Paule et Élisabeth   Nous étions cinq jeunes femmes à partager un même appartement et nous avions décidé de prier ensemble au moins une fois par jour pour nous conforter dans notre foi commune et pour vivre cet aspect particulier de la vie chrétienne qu’est la prière en commun, écho […]

  • Complies : « À toi ces derniers mots du jour ! »

    « Complies est la dernière prière du jour, à faire avant le repos de la nuit, même après minuit le cas échéant[1]. » Dernier acte de prière, les Complies ramassent en un bouquet serré toute la dispersion du jour et le dépose entre les mains du Créateur. La nuit, comme une mort à toutes occupations, vient refermer sur la vie son manteau de sommeil : demain, si Dieu le veut, nous quitterons le tombeau de la nuit pour nous lever dans le matin du jour nouveau.

  • « Tous les vendredis, nous chantons ensemble l’office du soir »

    Nous sommes vendredi, il est 18h, rassemblés devant l’autel, nous avons dit l’Angélus et nous nous levons pour chanter l’office du soir, les Vêpres.

  • Vêpres et vigiles comme préparation du dimanche

    Dans le chapitre « La célébration des mystères du Seigneur, le Dimanche », au n°204 de la PGLH, il est noté : « L’office du dimanche commence aux premières vêpres (office du samedi soir) ». Dans ce même document, concernant les vigiles, il nous est rappelé combien il est bon de « veiller » le Seigneur qui vient (n° 70-73).

  • Vêpres : « Rendre grâce au soir tombant »

    Dans l’ancienne division du temps, en usage chez les Romains, la vigilia vespertina, c’est-à-dire le soir, était la première des quatre parties de la nuit : soir, minuit, chant du coq, matin. On appelait aussi vesper (vénus), l’astre lumineux qui devient visible dans la pénombre grandissante. De là, l’habitude, souvent conservée, de parler des Vêpres pour dire l’office du soir.

  • « Au matin, je me tourne vers toi ! » : la prière de louange

    La prière du matin porte la marque spécifique de l’acte liturgique qu’elle met en œuvre : la louange. L’émerveillement de la louange est à la fois un acte spontané de l’homme et un don de Dieu. À cet égard, le verset d’introduction de l’office est significatif : Seigneur, ouvre mes lèvres et ma bouche publiera ta louange.

  • « Gardez ma parole » : l’office des Lectures

    Quelque peu méconnu des paroisses, l’office des lectures mérite que l’on s’y intéresse. Peut-être son intitulé, sa structure moins facile à aborder pour les non-initiés, la longueur des textes qu’il propose, sa place variable, en font-ils une sorte d’ovni dans le paisible mouvement de la liturgie des Heures.