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La Parole de Dieu : source d’espérance
Si la Parole de Dieu est source d’espérance, ce n’est seulement qu’elle atteint le cœur comme la promesse de quelque chose : cette promesse est portée par “quelqu’un” qui s’adresse à nous. On le découvre de manière privilégiée dans la liturgie.
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Jubilé de l’incarnation et mystère de la croix
En raison de l’importance de la croix comme « signe de l’espérance », le rite d’ouverture de l’année jubilaire invitait à la mettre en valeur la croix lors des processions vers la cathédrale. Mais cette mise en honneur de la croix et du signe de la croix vaut aussi et surtout dans la vie de chaque fidèle. On trouvera ci-après des propositions à vivre tout au long de l’année jubilaire.
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« Avec toi » : dans l’eucharistie, ces mots deviennent un acte
Une catéchèse du pape François qui introduisait un cycle de catéchèses sur l’Eucharistie, le « cœur de l’Eglise ». Une invitation du pape à « redécouvrir la beauté qui se cache dans la célébration eucharistique et qui, une fois dévoilée, donne tout son sens à la vie de chaque personne ».
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Catéchèse mystagogique de la messe : les dialogues, la prière sur les offrandes (orate fratres)
Le Rituel pour l’Initiation Chrétienne des Adultes prévoit que le temps suivant la célébration des sacrements de l’initiation soit celui de la mystagogie…
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COVID-19 : Dispositions pratiques en vue de la reprise des célébrations liturgiques
24 mai 2020 – La Conférence des évêques de France (CEF) se réjouit que le décret publié le 23 mai 2020 par le Gouvernement, conformément à la sentence rendue par le Conseil d’État lundi dernier, 18 mai, redonne sa juste place à la liberté d’exercice des cultes ; les restrictions qui y sont apportées, comme à toute liberté fondamentale, devant être justifiées et proportionnées. La CEF note :
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Pendant le Temps pascal, vivre un Chemin de Lumière en famille
Le service liturgie du diocèse de Strasbourg propose une liturgie familiale adaptée à ce temps du coronavirus : le Chemin de Lumière. Si pendant le Carême, Si pendant le Carême, le Chemin de Croix est l’exercice de piété qui permet de s’unir aux souffrances et à la passion du Christ, sans négliger l’annonce de la Résurrection et l’espérance du Royaume, le Directoire sur la pitié populaire et la liturgie suggère pour le Temps pascal une Via lucis, un Chemin de Lumière, faisant parcourir dans la prière un itinéraire passant par les différentes apparitions du Christ ressuscité, du matin de Pâques à la Pentecôte.
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La messe TV ou sur le Web, un exercice de communion !
24 mars 2020 – La maladie, l’âge, la distance ou des circonstances exceptionnelles privent souvent les chrétiens de la messe dominicale. Les alternatives radiophoniques, télévisuelles ou sur le Web existent tout au long de l’année et se multiplient en ce moment de confinement généralisé.
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Jeûne pascal et jeûne eucharistique
Outre le mercredi des Cendres, l’Église catholique demande à chaque baptisé de jeûner le vendredi saint. Traditionnellement, elle le conseille aussi le samedi saint.
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Les entrées en célébration
Il ne s’agit pas du premier chapitre d’un livre de cuisine (!) mais d’interroger les différents moyens par lesquels nous entrons en célébration. La structure des rites d’ouverture de la messe (entrée des ministres et chant-introït, Kyrie, prière) nous est familière. Mais on peut aussi se rappeler l’entrée spécifique du dimanche des rameaux (et de la Passion du Seigneur), de la Présentation du Seigneur, ou encore l’entrée lors de la célébration d’un baptême d’enfant.
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Des Rameaux à Pâques : cinq collectes pour un unique mystère
Entre le dimanche des Rameaux et la fête de Pâques, les textes bibliques et liturgiques sont d’une grande richesse ; les collectes des jours saints, d’une qualité exceptionnelle, orientent, au sens propre, notre prière vers l’Orient véritable qui surgit du tombeau au matin de Pâques. Elles nous font entrer peu à peu dans le mystère.
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Le rite pénitentiel et l’aspersion durant le Temps pascal
On a tous vu, une fois ou l’autre, au début d’une célébration eucharistique solennelle ou télévisée, le président asperger généreusement l’assemblée d’eau bénite. Utilisant souvent un bouquet de branches de cèdre ou d’olivier, il s’exécute en traversant la foule tandis qu’un chant festif souligne le caractère baptismal de l’action posée.
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Quelques gestes de la liturgie
Dans la célébration liturgique, toute la personne est engagée et les gestes qu’elle pose revêtent autant d’importance que les mots, les chants, les silences. C’est un ensemble d’éléments variés qui fait accéder au mystère et entrer en relation avec Dieu.
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Des Ordinaires pour des temps liturgiques précis
Avent, Temps de Noël, Carême, Temps pascal … la question d’avoir des Ordinaires propres à des temps liturgiques donnés mérite d’être posée. Mais avant, il convient tout d’abord de s’entendre sur le terme « Ordinaire » lui-même.
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Rouge, blanc, vert : couleurs en éphémère dans la liturgie
Blanc pour le temps pascal, rouge pour la Pentecôte. Nous entrons dans le Temps ordinaire, mais retournons au blanc pour la Trinité et le Saint-Sacrement du corps et du sang du Christ. Enfin, nous voilà au vert ! La liturgie nous en fait voir de toutes les couleurs !
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Le Gloire à Dieu
Au Kyrie eleison succède, sauf pendant l’Avent et le Carême, l’hymne Gloire à Dieu. Ici, le chant n’accompagne pas le rite (il ne se passe rien pendant le chant) ; le chant est le rite. Cela aura des implications sur sa mise en œuvre.
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« Le Seigneur soit avec vous », les quatre salutations de la célébration eucharistique
« Lorsque le chant d’entrée est fini, le prêtre, debout à son siège, fait le signe de la croix avec toute l’assemblée. Ensuite, en saluant la communauté rassemblée, il lui signifie la présence du Seigneur. Cette salutation et la réponse du peuple manifestent le mystère de l’Eglise rassemblée. » (Présentation générale du Missel romain, n° 50) Ce dialogue nous est familier et, par quatre fois, la célébration eucharistique le met en œuvre.
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Éclairer une église, pas uniquement pour voir clair !
Du chaos originel où Dieu sépare la lumière des ténèbres, voici le jour, voici la nuit. Alternance de ce qui se trame dans l’ombre, à l’éclat radieux du dévoilement. L’histoire des hommes, comme la Révélation biblique et l’histoire du salut, est traversée par cette alternance.
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Catéchèse du pape : « Que peut donner le Seigneur à celui qui a le cœur plein de lui-même ? »
Cette première audience de l’année s’inscrit dans un cycle de catéchèses données par le pape François sur la messe et l’eucharistie. En ce 3 janvier 2018, le Saint Père se penche cette fois sur le sens de l’acte pénitentiel, au début de la célébration eucharistique.
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Catéchèse du pape : « Ne pas arriver en retard à la messe mais en avance »
Le 20 décembre 2017, dans la sixième catéchèse d’un cycle d’enseignements consacrés à la messe et l’eucharistie, le pape présente les rites d’introduction de la célébration eucharistique et insiste plus particulièrement du signe de la croix.
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Catéchèse du pape sur l’eucharistie : Pourquoi aller à la messe le dimanche ?
Le dimanche, « premier jour de la semaine », « jour du soleil », « Jour du Seigneur » … dans cette catéchèse, le pape François rappelle l’origine de la sanctification du dimanche avec la célébration de l’Eucharistie, et l’importance du repos dominical.
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De l’usage du baptistère en dehors du baptême
Depuis quelques années, les communautés chrétiennes ont pris conscience de l’importance du lieu du baptême. Et même si certains baptistères sont encore délaissés ou encombrés d’objets de toutes sortes, les curés et leurs équipes pastorales ont cherché et cherchent à redonner au baptistère toute sa place dans l’espace liturgique.
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Catéchèse du pape : « La messe, prière par excellence et rencontre d’amour »
Voici la deuxième catéchèse du cycle de catéchèses données par le pape François sur la messe et l’eucharistie, le 15 novembre 2017. La Messe est la prière par excellence, nous dit le Saint Père dans cet enseignement. Mais qu’est-ce que la prière ? Comment apprendre à prier ?
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Catéchèse du pape : « A la messe, élevons nos cœurs, pas nos téléphones »
Une catéchèse du pape François qui introduisait un cycle de catéchèses sur l’Eucharistie, le « cœur de l’Eglise ». Une invitation du pape à « redécouvrir la beauté qui se cache dans la célébration eucharistique et qui, une fois dévoilée, donne tout son sens à la vie de chaque personne ».
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Fleurir l’accueil
Franchir la porte, dit Bénédicte Bouley dans le n°370 de la revue Célébrer, est un appel à la vie, « la porte délimite deux espaces : l’un connu, visible, l’autre chargé du mystère de l’inconnu, de l’invisible, elle sous entend l’accueil, l’hospitalité ». Dans le même numéro Bernard Châtaignier sous le titre « l’architecture de l’église » nous dit : « chaque lieu est plus qu’un moment et peut être considéré comme une étape, un événement ». Nous y voilà, nous les fleuristes !
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Servants d’autel : le céroféraire ou « porteur de cierge »
Le mot « céroféraire » tire son origine du grec kèros : « cire » et pherein : « porter ». Parmi les servants d’autel, le céroféraire est, littéralement, le « porteur de cierge ».