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Célébrer en mémoire d’un défunt, dans le cas où le corps n’est pas présent
Voici des propositions de célébrations pour vivre un temps d’adieu, en famille ou en communauté paroissiale, avec la prière de l’Église avant de se rendre au cimetière, dans le cas où le corps du défunt n'est pas présent.
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Célébrer les funérailles au lieu de l’inhumation
Cette note, initialement publiée lors du confinement lié au contexte épidémique de la Covid 19, propose une piste pour célébrer des funérailles au seul lieu de l’inhumation.
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Faire mémoire des fidèles défunts, après les funérailles
31 mars 2020 - La crise sanitaire que nous traversons prive souvent les familles et les proches d'un défunt de l'accompagner pleinement jusqu'à son inhumation. Et même si les églises continuent à accueillir pour les obsèques, l'impossibilité pratique pour beaucoup de s'y rendre (...)
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S’unir par la prière aux funérailles d’un proche
25 mars 2020 - En ce temps de confinement, vivre le deuil d'un proche devient plus douloureux encore. Le diocèse de Saint-Etienne a publié une proposition de temps de prière à vivre à la maison pour s'unir à un temps de funérailles.
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Funérailles : quand le corps est absent
Il arrive que le corps d'un défunt soit absent parce qu'il a disparu et que l'on n'a pu le retrouver. On connaît la douleur de familles qui doivent vivre la séparation, non seulement du fait de la brutalité de l'événement cause de la disparition mais aussi du fait de l'absence, de l'impossibilité de marquer la séparation par les rites funéraires.
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Célébration en l’absence de corps : don à la science, disparition en mer ou en montagne, inhumation à l’étranger
Il n’est pas rare aujourd’hui de devoir célébrer des funérailles sans corps, les raisons en sont multiples : disparition en mer ou en montagne, don du corps à la science, décès et inhumation à l’étranger, un temps de prière et d'adieu en l'absence de corps est prévu. Le deuil est difficile à entreprendre car l’absence de dépouille ne rend pas la perte tangible.
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Ritualiser le deuil d’un bébé mort-né
Le fait de lui donner un prénom, de le faire habiller, de le toucher, de rester un moment avec lui et de l’inhumer marquent autant d’étapes dans le deuil. Et si l’enfant mort ne peut être baptisé, il est tout au moins possible d’organiser un rite d’adieu selon la volonté et la religion des parents.