Célébré dans la foi chrétienne, le pèlerinage est une manière d’entrer en dialogue avec Dieu et, depuis l’appel du départ jusqu’au retour, de vivre un quotidien dorénavant transfiguré.
– Collection « Célébrer » : En pèlerinage. Le quotidien transfiguré
Les pèlerinages
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Collection « Célébrer » : Vivre la messe. La nouvelle traduction du Missel romain
Cinquième volume de la Collection, « Vivre la messe. La nouvelle traduction du Missel romain » est paru au mois de septembre 2021. Un ouvrage pastoral qui veut aider tous les baptisés, en responsabilité ou non, à pleinement « vivre la messe ».
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Bénir les pèlerins
Les bénédictions des pèlerins au départ ouvrent le désir personnel à la rencontre de ceux qui sont taraudés par le même désir et appelés par le même désir de plénitude. Elles sont donc des envois en mission qui disposent chaque pèlerin à la rencontre des autres et de l’Autre.
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Le pèlerinage… au retour !
On oublie souvent qu’il faut rentrer d’un pèlerinage et que ce retour fait partie intégrante de l’expérience. Il en est même le but ! Comment se disposer à faire de cette expérience un renouvellement de son existence, dans l’Église et dans le monde ?
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Du tourisme religieux au pèlerinage
Partir en pèlerinage, c’est d’abord partir : quitter ses lieux habituels, son horizon, ses relations immédiates… Le pèlerinage comporte donc une part de découverte, de dépaysement, et disons-le tout net de tourisme, fût-il religieux. Mais comment faire pour que cette part de tourisme donne accès à l’esprit du pèlerinage, cette démarche par laquelle des personnes peuvent se découvrir membres d’une Eglise toujours en marche ?
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Collection « Célébrer » : En pèlerinage. Le quotidien transfiguré
Quatrième volume de la Collection, « En pèlerinage. Le quotidien transfiguré » est paru au mois de mai 2020. Un volume qui invite le lecteur à envisager le pèlerinage comme une liturgie. Ce voyage spirituel est une façon pour le pèlerin d’entrer en dialogue avec Dieu, et une voie de transfiguration du quotidien.
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Au cours d’un pèlerinage, accueillir la grâce d’un sanctuaire
Bien souvent, les pèlerinages mènent sur des « lieux de mémoire ». Venant avec leur histoire, c’est-à-dire avec les joies et le poids de leur quotidien, les pèlerins peuvent s’y ouvrir à une autre histoire, celle d’un saint ou d’un lieu de rassemblement marqué par les générations qui s’y succèdent. Encore faut-il que les organisateurs du pèlerinage ou les pèlerins eux‑mêmes se préparent à s’approprier la grâce du Sanctuaire.
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L’architecture de l’église, le chemin chrétien
Quand nous entrons dans une église, nous faisons un parcours qui rappelle le chemin que la liturgie nous fait vivre. Réciproquement la célébration nous fait visiter l’église où nous prions et reprend le cheminement du chrétien : tout d’abord passer la porte et décider (à nouveau) d’entrer, s’asseoir dans la nef pour se laisser instruire par la Parole et y répondre, avancer dans le chœur jusqu’à l’autel pour célébrer les sacrements et contempler le mystère du Christ, être envoyé dehors en mission dans le monde.
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L’été, le temps des pèlerinages
Le pèlerinage est une expérience personnelle vécue à la suite d’une décision volontaire dont les motivations peuvent être multiples. Mais quelles que soient les motivations, le pèlerin s’engage dans une démarche particulière qui peut le modifier, le transformer. Le pèlerinage est une forme particulière de piété personnelle qui peut être communautaire. La pratique des pèlerinages est universelle et se retrouve dans toutes les cultures.
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La retraite itinérante : une prière et une musique originales
Par le père Jean-René Fracheboud, Foyer de Charité de Bex en Suisse. La retraite itinérante au niveau spirituel se vit dans le même esprit et les mêmes dispositions que les autres retraites. La marche, le fait d’être ensemble et le contact avec la nature apportent une tonalité spécifique.
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L’expérience existentielle et symbolique de la pérégrination
« Compagnons, nous faut cheminer / Sans faire demeurance. » Ces vers dans le chant du pèlerin de Compostelle expriment la dynamique de notre condition humaine. Quoi de plus symbolique que la marche ?
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Que propose l’Eglise face à la maladie ?
Depuis toujours, l’Église, à l’exemple de son Seigneur, vient à la rencontre des personnes malades. La maladie touche la personne au plus intime et au plus incommunicable d’elle-même, aussi le malade fait-il dans sa chair l’expérience de son impuissance, de ses limites et de sa finitude.
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Chant et pèlerinage
Une démarche ecclésiale : Parmi tous les rassemblements du peuple chrétien, le pèlerinage est l’un de ceux qui manifestent le mieux la dimension ecclésiale ; le plus souvent présidé par l’évêque, successeur des Apôtres et père de son diocèse, le pèlerinage réunit aussi bien des paroissiens que des isolés, des croyants convaincus que des personnes en recherche, des gens d’un âge certain que des familles ou des jeunes : il brasse presque toutes les couches de la société.
Les processions
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Chemin de croix pour les premiers jours saints et le Vendredi Saint
Depuis toujours les chrétiens célèbrent la mémoire de la passion et de la résurrection du Christ dans l’attente de sa venue définitive. Tout particulièrement, durant le temps du Carême, la méditation du Chemin de croix continue d’ancrer notre prière dans cet événement fondateur. Cet ancrage aide à rendre grâce et intercéder pour le salut du monde, en toutes circonstances.
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Des processions, pourquoi ?
Le spectacle offert dans les rues par les processions des rameaux, du Saint-Sacrement ou encore par celles des traditions populaires peuvent surprendre. Et des questions surgissent : pourquoi ces cortèges ? D’où viennent ces traditions ? Ont-elles encore un sens ? Quant aux processions qui se déploient pendant la messe, on peut se demander si elles n’encombrent pas inutilement les rites.
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« Heureux les invités … » : la procession de communion
Entendre chaque dimanche l’interpellation reprise du livre de l’Apocalypse, « Heureux les invités au festin des noces de l’Agneau », nous engage dans une démarche à la fois ecclésiale et spirituelle, communautaire et personnelle.
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Lumière et flambeaux dans la liturgie
Nous avons tous fait l’expérience de circuler la nuit, en pleine campagne. Pas de maison, pas de circulation, parfois du mauvais temps. Rien de tout cela n’est rassurant. Mais, au détour de la route, une lumière perce la nuit. Aussitôt elle lève l’inquiétude et réchauffe le cœur : dans l’obscurité, la vie est là, présente ; à ce qui pourrait paraître désert et mort, une vie est donnée. Alors, qu’en est-il de la lumière vive de nos liturgies ?
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Chemin de croix, de l’évangile aux psaumes
Cet article intervient en supplément du numéro 389 de la revue Célébrer, paru en janvier-février 2012 – La rubrique Chrétiens en prière (Célébrer, p. 42-43) vous a présenté un chemin de croix composé d’extraits de psaumes. Le voici en intégralité. C’est une évocation de tous ceux qui souffrent aujourd’hui.
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L’expérience existentielle et symbolique de la pérégrination
« Compagnons, nous faut cheminer / Sans faire demeurance. » Ces vers dans le chant du pèlerin de Compostelle expriment la dynamique de notre condition humaine. Quoi de plus symbolique que la marche ?
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Redécouvrir l’intensité spirituelle du Chemin de Croix de Soeur Catherine
Le chemin de croix, composé de quatorze aquarelles en noir et blanc, peintes par sœur Catherine Bourgeois, connaît une nouvelle croissance.
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Le siège, l’ambon, l’autel … et les autres
Saint Hilaire de Melle, aménagement liturgique par Mathieu Lehanneur Par Claude Duchesneau Avant même de faire le tour de toutes les questions liturgiques, c’est-à-dire théologiques et pratiques, concernant l’autel, il faut dire une chose essentielle dont tout dépend : l’autel n’est jamais seul. Il fait partie d’un ensemble qui conditionnera sa place, sa taille, sa matière […]
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De l’autel à l’ambon, le cérémonial de l’évangéliaire
Le cœur du cérémonial de l’évangéliaire est son transfert, pendant le chant de l’Alléluia, depuis l’autel jusqu’à l’ambon.