Sacrements pour les personnes malades

Ce sacrement est conféré aux personnes gravement malades et « peut être réitéré si le fidèle qui a reçu l’onction et s’est rétabli, redevient malade ou si, durant la même maladie, le péril devient plus grave ».

– Introduction du pape Paul VI au Rituel du sacrement des malades

« Tous les chrétiens ont à partager l’attention et l’amour du Christ et de l’Église pour les malades… Ils sont invités à prendre soin, chacun selon ses possibilités, de ceux que la maladie a frappés, à leur rendre visite, à les réconforter dans le Seigneur, à leur apporter une aide fraternelle pour tout ce dont ils ont besoin » – Rituel, n°19

« Ces rencontres… seront un lieu de dialogue et d’amitié, voire de partage. » – Rituel, n°20

  • Accompagner par la prière nos proches hospitalisés, malades ou en fin de vie

    14 avril 2020 - La rédaction de l'hebdomadaire Magnificat propose un guide permettant aux fidèles de se tenir, par la prière, "au chevet" de leurs proches malades, des personnes hospitalisées, éprouvées par la maladie, atteintes du virus COVID-19, et des personnes en fin de vie, (...)

  • Face à la maladie, une rencontre avec le Christ

    Le sacrement des malades revisité : « Le spirituel en l’homme n’est pas déconnecté du corps. C’est dans le regard et le sourire de l’autre, dans une main tendue que se pressentent la joie de la personne, sa peine, son désespoir. La joie, la peine, la paix sont de l’ordre du spirituel. Il s’agit de tout ce qui est ouverture du corps, de l’être vers l’au-delà du corps.

  • Que propose l’Eglise face à la maladie ?

    Depuis toujours, l’Église, à l’exemple de son Seigneur, vient à la rencontre des personnes malades. La maladie touche la personne au plus intime et au plus incommunicable d’elle-même, aussi le malade fait-il dans sa chair l’expérience de son impuissance, de ses limites et de sa finitude.

  • Le geste liturgique à l’épreuve de la santé

    A scruter les rapports qu'entretiennent entre elles la maladie et la liturgie, on est conduit à envisager ce qu'on pourrait appeler des situations limites, lorsque les stigmates de la maladie ou du handicap sur le corps du sujet compromettent, chez celui-ci, l'accès au geste et singulièrement au geste liturgique.

  • La pastorale de la santé et l’œcuménisme

    Comment accompagner chrétiennement des personnes malades dans le cadre d’une aumônerie œcuménique ? Tel est le défi que vivent les membres de l’équipe d’aumônerie de la maison médicale Jean XXIII, maison de soins et d’accompagnements (un établissement de la fondation des diaconesses de Reuilly) sur le site d’Humanicité près de Lille.

« Les sacrements sont des actions du Christ, par son Eglise. Par eux, le Seigneur lui-même construit son corps quoi est l’Eglise. Lorsqu’un groupe de chrétiens ou la communauté locale se rassemble pour célébrer le sacrement des malades, tous, de façons diverses sont participants du sacrement. A tous et à chacun, il est en même temps donné et demandé de découvrir la présence du Seigneur ressuscité dans son Eglise, de confesser la foi en cette présence… » – Rituel n°54

« Dans le trouble où peut le mettre une maladie sérieuse, le chrétien a particulièrement besoin de cette grâce pour être en paix, garder son courage, lutter contre le mal, continuer à vivre sa foi, apporter sa part au bien du peuple, et retrouver la santé si Dieu en dispose ainsi….» – Rituel n°55

« L’onction sacramentelle est liée à la prière de la foi et exprime la foi. » – Rituel n°56

  • Prières pour accompagner les malades et les mourants

    24 avril 2020 – Ces propositions pourront guider la prière des soignants et des fidèles qui peuvent aller à la rencontre des personnes malades et des personnes en fin de vie.

  • Accompagner par la prière nos proches hospitalisés, malades ou en fin de vie

    14 avril 2020 – La rédaction de l’hebdomadaire Magnificat propose un guide permettant aux fidèles de se tenir, par la prière, « au chevet » de leurs proches malades, des personnes hospitalisées, éprouvées par la maladie, atteintes du virus COVID-19, et des personnes en fin de vie, (…)

  • L’huile, l’onction et la messe chrismale

    Pourquoi donc utiliser de l’huile en des célébrations liturgiques ? L’huile n’a, en soi, rien de spirituel … Cependant, si l’eau coule sur le corps, l’huile le pénètre : l’effet est tout différent.

  • Sacrements et conversion pascale

    La mise en œuvre du concile Vatican II a renouvelé la pastorale sacramentelle : la rénovation des rituels et de la célébration s’est accompagnée de la généralisation d’une préparation aux sacrements. Aujourd’hui, cette pastorale connait des évolutions sous l’influence du catéchuménat, de nouvelles orientations pour la catéchèse. On vise à ce que l’ensemble préparation-célébration soit une véritable initiation à la grâce du sacrement, à ce qu’il révèle et engage pour une vie chrétienne.

  • Face à la maladie, une rencontre avec le Christ

    Le sacrement des malades revisité : « Le spirituel en l’homme n’est pas déconnecté du corps. C’est dans le regard et le sourire de l’autre, dans une main tendue que se pressentent la joie de la personne, sa peine, son désespoir. La joie, la peine, la paix sont de l’ordre du spirituel. Il s’agit de tout ce qui est ouverture du corps, de l’être vers l’au-delà du corps.

  • La prière de bénédiction de l’huile des malades

    Selon l’usage de la liturgie latine, depuis le début du IIIe siècle (Tradition apostolique d’Hippolyte), la prière de bénédiction de l’huile des malades est prononcée pendant la prière eucharistique, soit aujourd’hui au cours de la messe chrismale, juste avant la grande doxologie.

  • Sacrements pour les malades, un Rituel au pluriel

    « Sacrements pour les malades », ainsi s’intitule le Rituel issu de la réforme conciliaire. Cela nous introduit dans un concept d’accompagnement et non seulement de célébration ponctuelle.

  • Que propose l’Eglise face à la maladie ?

    Depuis toujours, l’Église, à l’exemple de son Seigneur, vient à la rencontre des personnes malades. La maladie touche la personne au plus intime et au plus incommunicable d’elle-même, aussi le malade fait-il dans sa chair l’expérience de son impuissance, de ses limites et de sa finitude.

  • Guérir, sauver : quel rapport ?

    Si l’on se pose une telle question c’est qu’existe forcément un rapport, contesté peut-être mais néanmoins réel. Le tout est d’arriver à percevoir s’il s’agit d’une même réalité ou si nous pressentons qu’il existe une certaine distance entre les deux. D’autant qu’ici l’on nous demande d’articuler l’onction des malades avec ce double rapport : « guérir et sauver ».

  • Le sacrement de l’onction des malades [dépliant d’informations]

    (c) CIRIC Un don de Dieu pour la vie Suite à la publication, en 2010, des orientations pastorales pour l’onction des malades, la pastorale de la santé et la pastorale sacramentelle et liturgique du diocèse de Lyon éditent un dépliant grand public sur le sacrement des malades, pour mieux le faire connaître et le faire […]

  • Le geste liturgique à l’épreuve de la santé

    A scruter les rapports qu’entretiennent entre elles la maladie et la liturgie, on est conduit à envisager ce qu’on pourrait appeler des situations limites, lorsque les stigmates de la maladie ou du handicap sur le corps du sujet compromettent, chez celui-ci, l’accès au geste et singulièrement au geste liturgique.

« Porter la communion à un malade est un geste de foi et une démarche fraternelle de la communauté eucharistique envers ses membres absents. De cette manière, le malade reste uni à cette assemblée et il est soutenu par ce geste de fraternité chrétienne. » Rituel n°27

  • Vivre en communion : aller porter la communion

    Vous trouverez ici un guide pratique pour aller porter la communion aux malades, afin de rester en communion en dehors de la messe.

  • Prières pour accompagner les malades et les mourants

    24 avril 2020 – Ces propositions pourront guider la prière des soignants et des fidèles qui peuvent aller à la rencontre des personnes malades et des personnes en fin de vie.

  • Le tabernacle et le culte eucharistique

    Le tabernacle, et sa réserve eucharistique, occupe une place importante dans l’ensemble du culte eucharistique. Celle-ci découle de deux actions liturgiques essentielles : la communion et l’adoration.

  • Porter la communion aux malades : quelle démarche ?

    Dès l’an 150, saint Justin en nous donnant la première description de la messe dans sa première Apologie, n°67, signale que « l’on envoie leur part (des aliments consacrés, c’est-à-dire de l’eucharistie) aux absents, par le ministère des diacres ».

  • Porter la communion aux malades : un ministère

    Si la parole du Seigneur « J’étais malade et vous m’avez visité » (Mt 25, 36) s’adresse à tout baptisé, porter la communion à un malade relève du ministre extraordinaire de la communion.1 Ce ministère demande de s’y être préparé et normalement d’être mandaté.

  • Sacrements pour les malades, un Rituel au pluriel

    « Sacrements pour les malades », ainsi s’intitule le Rituel issu de la réforme conciliaire. Cela nous introduit dans un concept d’accompagnement et non seulement de célébration ponctuelle.

  • Que propose l’Eglise face à la maladie ?

    Depuis toujours, l’Église, à l’exemple de son Seigneur, vient à la rencontre des personnes malades. La maladie touche la personne au plus intime et au plus incommunicable d’elle-même, aussi le malade fait-il dans sa chair l’expérience de son impuissance, de ses limites et de sa finitude.

  • Détail du tabernacle, oeuvre de l'artiste contemporain Edouard ROPARS, de la Maison d'Eglise Saint-Paul-de-La Plaine. Saint Denis (93) France.

    Le culte eucharistique en dehors de la Messe

    Dans les premiers siècles de l’Église, on conservait du pain eucharistique, après la célébration, pour l’apporter aux mourants. Le concile de Nicée de 325 parlait déjà d’une « règle ancienne interdisant de priver du dernier et très nécessaire viatique celui qui est près de la mort. »

  • Guérir, sauver : quel rapport ?

    Si l’on se pose une telle question c’est qu’existe forcément un rapport, contesté peut-être mais néanmoins réel. Le tout est d’arriver à percevoir s’il s’agit d’une même réalité ou si nous pressentons qu’il existe une certaine distance entre les deux. D’autant qu’ici l’on nous demande d’articuler l’onction des malades avec ce double rapport : « guérir et sauver ».

  • La communion des malades

    Le port de la communion aux malades, qui constitue la forme prédominante de la communion des absents, a connu de nos jours une mutation de la plus haute importance dans le triple domaine de son ministre, de sa périodicité et de sa publicité.

  • Le geste liturgique à l’épreuve de la santé

    A scruter les rapports qu’entretiennent entre elles la maladie et la liturgie, on est conduit à envisager ce qu’on pourrait appeler des situations limites, lorsque les stigmates de la maladie ou du handicap sur le corps du sujet compromettent, chez celui-ci, l’accès au geste et singulièrement au geste liturgique.

  • Porter la communion à domicile

    Matthieu 25, 35 : « (…) j’ai eu faim et vous m’avez donné à manger, j’ai eu soif et vous m’avez donné à boire, j’étais un étranger et vous m’avez accueilli, nu et vous m’avez vêtu, malade et vous m’avez visité, prisonnier et vous êtes venus me voir. » De tous temps la communauté chrétienne […]

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  • Les sacrements pour les malades

    En présentant les sacrements pour les malades, le Rituel opère une grande distinction : les malades, d’une part, et les mourants, d’autre part.

  • Sacrements à l’approche de la mort

    Le ViatiqueLe malade en danger prochain de mortLa confirmation en péril prochain de mortLa recommandation des mourantsLe Viatique « A ceux qui vont quitter cette vie l’Église offre aussi l’eucharistie reçue en viatique. […] Le viatique offre au malade de s’unir au Christ, « le Premier-né d’entre les morts » (Col 1, 18). Celui-ci peut aider le […]

  • L’Eucharistie en dehors de la Messe

    La fin première de la conservation de l’eucharistie en dehors de la messe est l’administration du viatique ; les fins secondaires sont la distribution de la communion et l’adoration de notre Seigneur Jésus Christ présent dans le sacrement.