Le Carême

En souvenir du Christ qui passa 40 jours dans le désert, les chrétiens sont appelés à jeûner et à prier pendant les 40 jours qui précèdent Pâques. Le mercredi des Cendres marque l’entrée en Carême. A l’occasion de la célébration des Cendres, le prêtre trace avec la cendre un signe de croix sur le front des fidèles en les appelant à se convertir et à croire à l’évangile« Revenez à moi de tout votre cœur, dans le jeûne, les larmes et le deuil ! Déchirez vos cœurs et non pas vos vêtements, et revenez au Seigneur votre Dieu » (Joël 2, 12).

Carême

  • Vivre la pénitence : les pistes du rituel

    « Dieu fais-nous revenir » (Psaume 79). Ce cri du psalmiste devient souvent le nôtre, lorsque nous réalisons, qu’à cause de notre faiblesse ou du péché, nous avons besoin de renouer avec lui ou tout simplement d’intensifier notre vie baptismale. Chacun alors pense spontanément au sacrement de la pénitence et de la réconciliation, qui représente le chemin de la conversion privilégié dans l’Eglise latine depuis le Moyen Age jusqu’à une période récente. Or l’épidémie nous prive de ce chemin.

  • Journée de prière pour les victimes d’abus au sein de l’Eglise – 20 mars 2022

    3e dimanche de Carême 2022 : le Pape François nous invite à vivre une journée de prière pour les victimes de violences et agressions sexuelles et d’abus de pouvoir et de conscience au sein de l’Église.

  • Le Triduum pascal : le grand « passage » vers la Vie

    « L’Eglise célèbre solennellement dans un Triduum sacré les mystères les plus grands de notre rédemption, en faisant mémoire, par des célébrations particulières, de son Seigneur crucifié, enseveli et ressuscité ». C’est ainsi que le Missel romain ouvre les préliminaires qui présentent le Triduum pascal.

  • Le Triduum pascal selon les rubriques de la nouvelle traduction du Missel romain

    Cet article permet de suivre la progression des différentes célébrations du Triduum pascal à travers les rubriques du Missel romain. Ainsi reliée aux autres, chacune apparaît comme le moment particulier d’un unique « passage » vers la Vie.

  • Le message du Pape François pour le Carême 2022

    « Ne nous lassons pas de faire le bien, car, le moment venu, nous récolterons, si nous ne perdons pas courage. Ainsi donc, lorsque nous en avons l’occasion, travaillons au bien de tous. » (Gal 6, 9-10a)

  • Le Triduum Pascal #1 : le Jeudi saint

    Alors qu’à l’origine, l’Église célébrait l’ensemble du mystère pascal du Christ lors de la vigile pascale, le besoin s’est fait sentir de développer chacune des facettes de ce même mystère en autant de célébrations : repas pascal, passion et mort du Seigneur, silence du tombeau, résurrection (…)

  • Le Triduum Pascal #2 : le Vendredi saint

    Alors qu’à l’origine, l’Église célébrait l’ensemble du mystère pascal du Christ lors de la vigile pascale, le besoin s’est fait sentir de développer chacune des facettes de ce même mystère en autant de célébrations : repas pascal, passion et mort du Seigneur, silence du tombeau, résurrection (…)

  • Le Triduum Pascal #3 : le Samedi saint

    Alors qu’à l’origine, l’Église célébrait l’ensemble du mystère pascal du Christ lors de la vigile pascale, le besoin s’est fait sentir de développer chacune des facettes de ce même mystère en autant de célébrations : repas pascal, passion et mort du Seigneur, silence du tombeau, résurrection (…)

  • Le Triduum Pascal #4 : la Vigile pascale

    Alors qu’à l’origine, l’Église célébrait l’ensemble du mystère pascal du Christ lors de la vigile pascale, le besoin s’est fait sentir de développer chacune des facettes de ce même mystère en autant de célébrations : repas pascal, passion et mort du Seigneur, silence du tombeau, résurrection (…)

  • Choisir des chants adaptés au Carême et à la Semaine Sainte

    Aux côtés d’une proposition large de chants pour le Carême et la Semaine Sainte, le département musique du SNPLS propose redécouvrir de manière plus approfondie les impropères, ce chant du Vendredi saint.

  • Choisir des chants adaptés au Temps pascal

    Aux côtés d’une proposition large de chants pour le temps pascal, le département musique du SNPLS propose de redécouvrir de manière plus approfondie les versions françaises des Séquences de Pâques « obligatoires ».

  • 19 mars : chanter et fêter saint Joseph

    Pour vivre la fête de Saint Joseph, le 19 mars, voici trois hymnes et des litanies qui reprennent le chemin et les attitudes de Joseph à travers les rares mentions dans les évangiles canoniques et en s’appuyant sur la longue tradition de l’Eglise qui aime contempler sa figure.

  • En l’absence de rassemblement dominical, garder la communion entre nous !

    Que nous arrive-t-il en ces jours ?
    Pendant le Carême de cette année 2020 d’abord et maintenant en cette veille de l’Avent, nous sommes dépouillés de ce qui est le cœur de la vie chrétienne, sa source et son sommet : l’eucharistie. (…)

  • Célébrer la liturgie de la Parole le dimanche en famille : pourquoi ? Comment ?

    24 mars 2020 – Devant l’impossibilité de se réunir en communauté paroissiale, beaucoup de familles se demandent comment vivre le dimanche de manière qu’il reste le « jour du Seigneur ».
    La messe à la télévision ou par vidéo est une possibilité. Mais cette possibilité présente l’inconvénient de laisser chacun « spectateur », passif devant l’écran. (…)

  • Chemin de croix pour les premiers jours saints et le Vendredi Saint

    Depuis toujours les chrétiens célèbrent la mémoire de la passion et de la résurrection du Christ dans l’attente de sa venue définitive. Tout particulièrement, durant le temps du Carême, la méditation du Chemin de croix continue d’ancrer notre prière dans cet événement fondateur. Cet ancrage aide à rendre grâce et intercéder pour le salut du monde, en toutes circonstances.

  • Carême et liturgie, un même défi : le Mystère pascal au centre de nos vies !

    Dans son message pour le Carême 2020, le pape François invitait à accueillir l’appel à nous laisser réconcilier avec Dieu (2 Co 5, 20) en fixant davantage « le regard du cœur sur le Mystère pascal ». Remettre au centre le Mystère pascal permet en effet d’entrer dans « un dialogue ouvert et sincère avec Dieu ». Et selon le Pape, grâce à ce dialogue, il devient alors plus facile aux disciples que nous sommes de devenir « sel de la terre et lumière du monde » (Mt 5, 13‑14). Or l’invitation vaut bien au-delà du Carême.

  • COVID-19 : « Si tu ne trouves pas de confesseur… »

    Le premier confinement privait déjà les catholiques de la possibilité de se confesser en ce temps de conversion qu’est le Carême.
    Dans son homélie de la messe du vendredi 20 mars 2020 à la chapelle Sainte Marthe, le pape François lui‑même s’était fait l’écho de cette difficulté à pouvoir vivre la confession sacramentelle.
    Alors que nous sommes une seconde fois confinés, son message nous rejoint à nouveau :

  • La messe TV ou sur le Web, un exercice de communion !

    24 mars 2020 – La maladie, l’âge, la distance ou des circonstances exceptionnelles privent souvent les chrétiens de la messe dominicale. Les alternatives radiophoniques, télévisuelles ou sur le Web existent tout au long de l’année et se multiplient en ce moment de confinement généralisé.

  • Dans la crise, continuer à sanctifier le dimanche, jour du Seigneur !

    17 mars 2020 – Le contexte épidémique impose aux communautés chrétiennes de ne pas célébrer l’eucharistie dominicale privant les croyants du sommet et de la source de leur vie chrétienne. Ce rassemblement du dimanche va nous manquer, tant il est important.

  • La liturgie entraîne au combat spirituel

    Tout au long de l’année, lors de la célébration de l’Eucharistie et des célébrations sacramentelles, la liturgie invite les fidèles à s’engager dans le combat spirituel en les assurant que Dieu les accompagne.

  • Couleurs en Carême

    La symétrie entre l’Avent et le Carême, temps de préparation aux fêtes de Noël et Pâques, apparaît significativement dans la couleur liturgique. Le violet, synthèse du rouge et du bleu, caractérise dans notre sphère de compréhension catholique une tonalité pénitentielle mais non funèbre. Mais la perception des couleurs reste éminemment culturelle, non seulement dans leur codification (naissance, deuil, joie etc.) mais aussi dans l’appréciation. Qu’est-ce qu’une couleur chaude ou froide ? Chacun de nous a une appréciation assez subjective de ce qui froid, lumineux, gai, etc.

  • Jeûne pascal et jeûne eucharistique

    L’Église catholique demande à chaque baptisé de jeûner le vendredi saint et traditionnellement le conseille aussi le samedi saint. On pourrait penser que ce jeûne ressemble aux autres jeûnes : démarche de pénitence, de purification et de conversion. Pourtant il ne se réduit pas à cela.

  • Combat spirituel et joie pascale : que nous disent les collectes de Carême ?

    « Accorde-nous Seigneur de savoir commencer saintement par une journée de jeûne notre entraînement au combat spirituel : que nos privations nous rendent plus forts pour lutter contre l’esprit du mal. » Cette collecte du mercredi des Cendres « colore » fortement l’entrée en Carême, temps par excellence de l’entrainement au combat spirituel.

  • Quels chants choisir pour le temps du Carême ?

    Et si le temps du Carême nous invitait à redécouvrir les moments de silence dans nos liturgies ? À l’image des quarante jours que Jésus a passé au désert, nos célébrations sont plus sobres et dépouillées. Elles laissent davantage de place au recueillement et au silence :

  • Musique liturgique : l’emploi du répertoire historique pendant le Carême

    Peut-on utiliser le « trésor » musical de l’Eglise dans nos liturgies ? Comment ? A quelles conditions ? Que faire des motets, hymnes, psaumes hérités de plusieurs siècles par des compositeurs de grand talent, parfois au rang de chef d’œuvre ? Voici une proposition de répertoire historique pour le Mercredi des Cendres et le temps du Carême.

  • Dimanches de Carême : les trois évangiles des scrutins

    Pour accompagner l’ultime préparation des catéchumènes à leur baptême, et le cheminement des fidèles vers les célébrations pascales, la liturgie dominicale offre un parcours jalonné de trois grands récits empruntés à l’évangile selon saint Jean. S’ils ne forment pas à proprement parler, dans le 4ème Évangile, une séquence, la tradition chrétienne n’a cependant pas trahi l’intention de l’évangéliste en les rapprochant. Dans sa présentation du ministère de Jésus, saint Jean a en effet traité ces trois rencontres avec un soin et un déploiement sans équivalents.

  • Le Carême, un temps pour se préparer dans la prière

    Le Carême, temps de préparation à la fête de Pâques, est un temps de conversion. Il repose sur la prière, la pénitence et le partage. La pénitence n’est pas une fin en soi, mais la recherche d’une plus grande disponibilité intérieure.

  • Qu’est-ce que le Carême ?

    Le mot « Carême » vient du latin « quadragesima ». Il désigne la période de quarante jours pendant laquelle l’Église se prépare à Pâques par une vie chrétienne plus intense et par diverses pratiques de pénitence.

  • Des Ordinaires pour des temps liturgiques précis

    Avent, Temps de Noël, Carême, Temps pascal … la question d’avoir des Ordinaires propres à des temps liturgiques donnés mérite d’être posée. Mais avant, il convient tout d’abord de s’entendre sur le terme « Ordinaire » lui-même.

  • « Revenez à moi de tout votre cœur », chant pour la liturgie des Cendres

    Le chant « Revenez à moi de tout votre cœur » (GX 94) conviendra parfaitement pour la liturgie des cendres puisqu’il puise dans les textes de la liturgie du jour. Ces textes nous invitent à la pénitence et au recueillement grâce la musique d’André Gouzes dans une simplicité et un dépouillement qui correspondent tout à fait à l’entrée en Carême.

  • Chants adaptés pour la Vigile pascale, le jour de Pâques et le Temps pascal

    Avec la Résurrection célébrée, c’est le grand retour des Alléluia et du Gloria. Tout ce temps est particulièrement propice à la jubilation et la louange !

  • La pénitence comme réponse à la miséricorde divine

    Prière devant l’icône de la Miséricorde Divine. Par Philippe Vallin Prêtre du diocèse de Nancy, Philippe Vallin est professeur de Théologie systématique à la Faculté de Théologie catholique de l’Université de Strasbourg où il donne les cours de christologie fondamentale, de sotériologie et d’anthropologie théologique (doctrine de la grâce, eschatologie, création). Depuis 2009, il est […]

  • Solennité de Saint Joseph époux de la Vierge Marie, le 19 mars

    Saint Joseph, l’époux de Marie, eut pour mission de « veiller sur Jésus comme un père » (Cf. Préface de la messe). Mais le Seigneur a voulu que le chef de la sainte Famille de Nazareth continue à remplir la même tâche dans l’Eglise, qui est le corps du Christ. Si Marie est la Mère de l’Eglise, Joseph en est le Protecteur. C’est pour cela que sa fête est une solennité en liturgie.

  • Carême : se convertir à l’école des Pères de l’Eglise

    L’oraison de l’office des lectures du Mercredi des Cendres nous invite à demander au Seigneur de nous accorder « de savoir commencer saintement par une journée de jeûne, notre entraînement au combat spirituel afin que nos privations nous rendent plus fort pour lutter contre l’esprit du mal ». Pendant le Carême, nous pouvons demander la grâce de la conversion et nous entraîner au combat spirituel à l’école des pères de l’Eglise. Pendant les quarante jours qui mènent à Pâques, vous trouverez ici des morceaux choisis de la lecture patristique proposée à l’office des lectures.

  • Le violet et ses nuances dans la liturgie

    Aujourd’hui, le violet est une couleur emblématique des temps préparatoires aux deux grandes fêtes de l’année liturgique, Noël et Pâques. Il est employé pendant l’Avent et le Carême.

  • Des Cendres au feu de la Pentecôte

    La logique naturelle veut que l’on passe du feu aux cendres ; du feu chaleureux, qui consume tout, aux cendres inertes et froides. Le feu consume ce qui le fait vivre si bien qu’il en meurt. La liturgie nous fait entrer dans une autre logique, la logique divine, qui met à mal nos idées préconçues sur le feu et la cendre. Commencé par la cendre, le grand cycle pascal fait jaillir un feu qui ne s’éteint pas et, ce faisant, il structure l’expérience chrétienne.

  • L’expérience existentielle et symbolique de la pérégrination

    « Compagnons, nous faut cheminer / Sans faire demeurance. » Ces vers dans le chant du pèlerin de Compostelle expriment la dynamique de notre condition humaine. Quoi de plus symbolique que la marche ?

  • Le Carême, temps de l’Église pénitente

    La tradition biblique et la vie liturgique articulent la démarche individuelle de pénitence à la dynamique collective de l’Église dans son retour à Dieu. Le Carême naturellement est porteur de cette dimension sociale de la conversion. Mais est-elle encore vraiment significative ?

  • « Convertissez-vous et croyez à l’Évangile » Mc 1, 15

    La conversion, chez saint Marc, est rattachée à l’accomplissement des temps et consiste à croire en l’Évangile. L’enracinement vétérotestamentaire de ce dernier terme donne des clés qui permettent de qualifier le mouvement de conversion et de l’inscrire dans la démarche quadragésimale.

  • Prière de l’Eglise au rythme des Heures : le temps annuel

    Le temps ? Il est l’objet de toutes les banalités (parler de la pluie et du beau temps !), mais aussi de toutes les angoisses (comme le temps passe vite ! – On n’a plus le temps de rien …)

Le mercredi des Cendres marque l’entrée en Carême. Le prêtre trace avec la cendre un signe de croix sur le front des fidèles en les appelant à se convertir et à croire à l’Évangile.

Réf. Missel du Dimanche  La pénitence du Carême est orientée vers Dieu, qu’elle honore, et vers nos frères, qu’elle réconforte. En elle s’exprime avec exceptionnelle vigueur l’humble soumission du disciple de Jésus au double commandement de l’amour. L’une des préfaces de ce temps a su trouver les mots pour le dire : « Tu accueilles nos pénitences, Seigneur, comme une offrande à ta gloire ; car nos privations, tout en abaissant notre orgueil, nous invitent à imiter ta miséricorde et à partager avec ceux qui ont faim (Pr 3). »

  • Vivre la pénitence : les pistes du rituel

    « Dieu fais-nous revenir » (Psaume 79). Ce cri du psalmiste devient souvent le nôtre, lorsque nous réalisons, qu’à cause de notre faiblesse ou du péché, nous avons besoin de renouer avec lui ou tout simplement d’intensifier notre vie baptismale. Chacun alors pense spontanément au sacrement de la pénitence et de la réconciliation, qui représente le chemin de la conversion privilégié dans l’Eglise latine depuis le Moyen Age jusqu’à une période récente. Or l’épidémie nous prive de ce chemin.

  • Combat spirituel et joie pascale : que nous disent les collectes de Carême ?

    « Accorde-nous Seigneur de savoir commencer saintement par une journée de jeûne notre entraînement au combat spirituel : que nos privations nous rendent plus forts pour lutter contre l’esprit du mal. » Cette collecte du mercredi des Cendres « colore » fortement l’entrée en Carême, temps par excellence de l’entrainement au combat spirituel.

  • « Revenez à moi de tout votre cœur », chant pour la liturgie des Cendres

    Le chant « Revenez à moi de tout votre cœur » (GX 94) conviendra parfaitement pour la liturgie des cendres puisqu’il puise dans les textes de la liturgie du jour. Ces textes nous invitent à la pénitence et au recueillement grâce la musique d’André Gouzes dans une simplicité et un dépouillement qui correspondent tout à fait à l’entrée en Carême.

  • La pénitence comme réponse à la miséricorde divine

    Prière devant l’icône de la Miséricorde Divine. Par Philippe Vallin Prêtre du diocèse de Nancy, Philippe Vallin est professeur de Théologie systématique à la Faculté de Théologie catholique de l’Université de Strasbourg où il donne les cours de christologie fondamentale, de sotériologie et d’anthropologie théologique (doctrine de la grâce, eschatologie, création). Depuis 2009, il est […]

  • Carême : se convertir à l’école des Pères de l’Eglise

    L’oraison de l’office des lectures du Mercredi des Cendres nous invite à demander au Seigneur de nous accorder « de savoir commencer saintement par une journée de jeûne, notre entraînement au combat spirituel afin que nos privations nous rendent plus fort pour lutter contre l’esprit du mal ». Pendant le Carême, nous pouvons demander la grâce de la conversion et nous entraîner au combat spirituel à l’école des pères de l’Eglise. Pendant les quarante jours qui mènent à Pâques, vous trouverez ici des morceaux choisis de la lecture patristique proposée à l’office des lectures.

  • Le violet et ses nuances dans la liturgie

    Aujourd’hui, le violet est une couleur emblématique des temps préparatoires aux deux grandes fêtes de l’année liturgique, Noël et Pâques. Il est employé pendant l’Avent et le Carême.

  • Le Carême, temps de l’Église pénitente

    La tradition biblique et la vie liturgique articulent la démarche individuelle de pénitence à la dynamique collective de l’Église dans son retour à Dieu. Le Carême naturellement est porteur de cette dimension sociale de la conversion. Mais est-elle encore vraiment significative ?

  • « Convertissez-vous et croyez à l’Évangile » Mc 1, 15

    La conversion, chez saint Marc, est rattachée à l’accomplissement des temps et consiste à croire en l’Évangile. L’enracinement vétérotestamentaire de ce dernier terme donne des clés qui permettent de qualifier le mouvement de conversion et de l’inscrire dans la démarche quadragésimale.

  • Préparation ultime des catéchumènes : les scrutins, trois rites pénitentiels durant le Carême

    Avant leur baptême, les catchumènes sont invités à vivre trois rites pénitentiels : ce sont les scrutins qui ont lieu les 3ème, 4ème et 5ème dimanches de Carême.

  • Le Carême des baptisés, un temps de conversion

    Si le Carême est bien le temps de la préparation ultime des catéchumènes, il est aussi pour tous les baptisés le temps de la conversion qui prépare à la grande fête pascale.