Fondateur

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Du latin fundator : « celui qui donne un fondement ». La fête du Saint Fondateur d’une église locale (habituellement un diocèse) ou d’une famille religieuse est célébré, à son jour, comme Solennité. En dehors du chef-lieu du diocèse, la célébration du Fondateur a rang de Fête. Voir Calendrier, Propre.

Dom Robert Le Gall – Dictionnaire de Liturgie © Editions CLD, tous droits réservés

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  20. t
  21. u
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  23. w
  24. x
  25. y
  26. z
  • Sacré-Coeur de Jésus : signification de la solennité

    La fête du Sacré-Cœur est une solennité célébrée le 3e vendredi après la solennité de la Pentecôte. Extraits de la liturgie de ce jour.

  • Le temps ordinaire, un espace pour une conversion paisible

    L’année liturgique présente, dans sa structure, une alternance de temps forts, nettement caractérisés, et de temps dits « ordinaires ». Ces temps ordinaires n’ont cependant rien de quelconque. On n’y célèbre pas un aspect particulier du mystère chrétien, mais on y chemine au fil des jours vers le Père, dans la lumière du Christ, accompagnés par l’Esprit.

  • L’année liturgique, chemin de conversion

    Chaque année, le temps liturgique nous fait parcourir tout le mystère du Christ. À travers le cycle pascal, les fêtes fixes, la succession des dimanches, ce sont les grands mystères de la foi que les chrétiens sont invités à célébrer. Il y a là comme une catéchèse permanente, un voyage initiatique qui permet aux baptisés de se réapproprier toutes les dimensions de leur foi, au cœur de leur propre histoire et de celle de l’humanité.

  • L’art du vitrail, un chemin de lumière

    A l’âge d’or des cathédrales, une relation ambiguë liait l’homme et le temps. Encadré par l’Eglise, le temps revêtait une symbolique forte et prégnante. Temps cyclique, l’année était rythmée par les saisons, les travaux des champs et les fêtes religieuses. Profane et sacré s’interpénétraient ainsi au point que nos cathédrales en portent toujours les traces : elles portent en elles le symbole du temps.

  • Fleurir en la fête du Christ-Roi

    A la fin de l’année liturgique, avec le trente-quatrième dimanche du Temps ordinaire, l‘Église nous invite à célébrer la solennité du Christ-Roi. Le titre de la fête semble évoquer la puissance de Dieu. Pourtant, nous célébrons celui qui n’exerce pas un pouvoir de domination mais qui révèle sa royauté en s’offrant lui-même cloué sur une croix.