L’Eucharistie en dehors de la Messe

La fin première de la conservation de l’eucharistie en dehors de la messe est l’administration du viatique ; les fins secondaires sont la distribution de la communion et l’adoration de notre Seigneur Jésus Christ présent dans le sacrement. Car la conservation des saintes espèces pour les malades a amené la louable coutume d’adorer la nourriture céleste conservée dans les églises.

Rituel de l’eucharistie en dehors de la messe, n°5

  • Vivre en communion : aller porter la communion

    Vous trouverez ici un guide pratique pour aller porter la communion aux malades, afin de rester en communion en dehors de la messe.

  • Prières pour accompagner des malades proches de la mort

    Comment aider un groupe paroissial qui a reçu une mission apostolique ou caritative à démarrer son activité ou à lancer l’année pastorale ? En complément du dialogue pastoral autour de la mission, envisager un temps de prière pourra aider ce groupe à s’en remettre à Dieu afin que « toutes nos activités prennent leur source en toi et reçoivent de toi leur achèvement ».

  • Le tabernacle et le culte eucharistique

    Le tabernacle, et sa réserve eucharistique, occupe une place importante dans l’ensemble du culte eucharistique. Celle-ci découle de deux actions liturgiques essentielles : la communion et l’adoration.

  • Porter la communion aux malades : quelle démarche ?

    Dès l’an 150, saint Justin en nous donnant la première description de la messe dans sa première Apologie, n°67, signale que « l’on envoie leur part (des aliments consacrés, c’est-à-dire de l’eucharistie) aux absents, par le ministère des diacres ».

  • Porter la communion aux malades : un ministère

    Si la parole du Seigneur « J’étais malade et vous m’avez visité » (Mt 25, 36) s’adresse à tout baptisé, porter la communion à un malade relève du ministre extraordinaire de la communion.1 Ce ministère demande de s’y être préparé et normalement d’être mandaté.

  • Sacrements pour les malades, un Rituel au pluriel

    « Sacrements pour les malades », ainsi s’intitule le Rituel issu de la réforme conciliaire. Cela nous introduit dans un concept d’accompagnement et non seulement de célébration ponctuelle.

  • Que propose l’Eglise face à la maladie ?

    Depuis toujours, l’Église, à l’exemple de son Seigneur, vient à la rencontre des personnes malades. La maladie touche la personne au plus intime et au plus incommunicable d’elle-même, aussi le malade fait-il dans sa chair l’expérience de son impuissance, de ses limites et de sa finitude.

  • Détail du tabernacle, oeuvre de l'artiste contemporain Edouard ROPARS, de la Maison d'Eglise Saint-Paul-de-La Plaine. Saint Denis (93) France.

    Le culte eucharistique en dehors de la Messe

    Dans les premiers siècles de l’Église, on conservait du pain eucharistique, après la célébration, pour l’apporter aux mourants. Le concile de Nicée de 325 parlait déjà d’une « règle ancienne interdisant de priver du dernier et très nécessaire viatique celui qui est près de la mort. »

  • Guérir, sauver : quel rapport ?

    Si l’on se pose une telle question c’est qu’existe forcément un rapport, contesté peut-être mais néanmoins réel. Le tout est d’arriver à percevoir s’il s’agit d’une même réalité ou si nous pressentons qu’il existe une certaine distance entre les deux. D’autant qu’ici l’on nous demande d’articuler l’onction des malades avec ce double rapport : « guérir et sauver ».

  • La communion des malades

    Le port de la communion aux malades, qui constitue la forme prédominante de la communion des absents, a connu de nos jours une mutation de la plus haute importance dans le triple domaine de son ministre, de sa périodicité et de sa publicité.

  • Le geste liturgique à l’épreuve de la santé

    A scruter les rapports qu’entretiennent entre elles la maladie et la liturgie, on est conduit à envisager ce qu’on pourrait appeler des situations limites, lorsque les stigmates de la maladie ou du handicap sur le corps du sujet compromettent, chez celui-ci, l’accès au geste et singulièrement au geste liturgique.

  • Porter la communion à domicile

    Matthieu 25, 35 : « (…) j’ai eu faim et vous m’avez donné à manger, j’ai eu soif et vous m’avez donné à boire, j’étais un étranger et vous m’avez accueilli, nu et vous m’avez vêtu, malade et vous m’avez visité, prisonnier et vous êtes venus me voir. » De tous temps la communauté chrétienne […]

  • Le tabernacle et le culte eucharistique

    Le tabernacle, et sa réserve eucharistique, occupe une place importante dans l’ensemble du culte eucharistique. Celle-ci découle de deux actions liturgiques essentielles : la communion et l’adoration.

  • Le tabernacle, lieu de la présence

    Le mot « tabernacle » provient du latin tabernaculum qui signifie « tente ». Son emploi liturgique rappelle « la Tente de la rencontre » où Dieu rencontrait son peuple au désert. Moïse entre dans la tente quand il veut consulter le Seigneur, obtenir de lui une parole pour le peuple, « Le Seigneur ayant achevé de parler avec Moïse sur la montagne du Sinaï, il lui donna les deux tables de la charte, charte de pierre, écrite du doigt de Dieu » (Ex 31, 18), ou inversement pour intercéder en faveur de son peuple, (Nb 14), ou encore pour converser avec Yahvé, « Le Seigneur s’entretenait avec Moïse face à face, comme un ami parle à son ami » (Ex 33, 11).

  • Le tabernacle, lieu de la présence : vocabulaire et aménagement

    Le tabernacle, la tente des Hébreux par laquelle Dieu montre son soutien à son peuple, ce qui annonce l’eucharistie, est devenu, dans le culte catholique, un meuble aux aspects divers. Devant permettre la conservation digne du pain consacrée en même temps que l’exaltation de la Présence réelle, son implantation diffère selon l’époque : distinct ou non de l’autel, incorporé au retable situé dans le chœur ou dans une chapelle. La forme est passée de l’ostentatoire au minimalisme, évolution anecdotique si elle n’était liée au message à transmettre.

  • Le tabernacle de la chapelle saint Michel de Limoges.

    Une chapelle réaménagée, un nouveau tabernacle dans la chapelle Saint Michel de Limoges

    Le tabernacle de la chapelle saint Michel de Limoges. Installé en 2011, il a été conçu par Léa Sham’s et Alain Duban. Par Jean-Marie Gaudron En août 2011, les fidèles de l’église saint Michel des lions ont découvert la chapelle du Saint Sacrement toute transfigurée par un réaménagement autour d’un nouveau tabernacle. À l’écart des […]

  • Tabernacle de l’église de la Maison de la Parole à Meudon (92)

    Tabernacle de la Maison de la Parole à Meudon Verre diaphane / coffre en acier poli, Installation le 5 janvier 2012, diamètre 0.60 m Par Dominique Dessolin, Aumônier des artistes   Le Tabernacle, lieu mémoire de la communion entre les fidèles, entre les croyants et le Dieu Trinité Le Tabernacle est le lieu de la […]

  • Un mobilier blanc, lumineux à ND d’Urville (50)

    Par Mireille Bouchard   Découvrez le témoignage de l’architecte d’intérieur Mireille Bouchard, à l’occasion du réaménagement de l’église Notre Dame d’Urville-Nacqueville : On me demande d’évoquer ma démarche plastique et spirituelle à propos de la commande qui m’a été faite pour le mobilier liturgique de l’église d’Urville-Nacqueville. Ces deux expressions, démarche plastique et démarche spirituelle sont […]

  • Le tabernacle de l’église de Bassens par Roland Daraspe (33)

    Monsieur Roland Daraspe, Maître d’art, nous fait part de la réalisation d’une de ses oeuvres : le tabernacle de l’église de Bassens. « Dès l’origine du projet, il avait paru nécessaire que le tabernacle qui serait au centre du chœur de l’église de Bassens établisse le lien entre la tente de l’ancienne Alliance et le […]

  • Autel, tabernacle et vitraux de la chapelle de la communauté des Filles de Saint Paul (69)

    Voici une présentation de l’aménagement liturgique de la chapelle de la communauté des Filles de Saint Paul à Villeurbanne, dans le diocèse de Lyon.

Ouvrages de la collection "Guides Célébrer"

L'offrande eucharistique

Collection Célébrer - Vie reçue vie donnée