La fin première de la conservation de l’eucharistie en dehors de la messe est l’administration du viatique ; les fins secondaires sont la distribution de la communion et l’adoration de notre Seigneur Jésus Christ présent dans le sacrement. Car la conservation des saintes espèces pour les malades a amené la louable coutume d’adorer la nourriture céleste conservée dans les églises.
– Rituel de l’eucharistie en dehors de la messe, n°5
-
Le culte eucharistique en dehors de la Messe
Dans les premiers siècles de l’Église, on conservait du pain eucharistique, après la célébration, pour l’apporter aux mourants. Le concile de Nicée de 325 parlait déjà d’une « règle ancienne interdisant de priver du dernier et très nécessaire viatique celui qui est près de la mort. »
-
Pâques – trame pour une liturgie domestique
Les dispositions sanitaires visant à limiter la propagation de la Covid-19 sont encore dans les mémoires. Les initiatives se sont multipliées pour répondre au désir de communier malgré tout, alors que l’accès habituel à la communion au sein de l’assemblée dominicale n’était plus possible.
-
Adoration eucharistique : chanter pour contempler le mystère pascal
L’Eucharistie est action de grâce pour le mystère pascal du Christ. Cette compréhension du sacrement de l’eucharistie est décisive pour appréhender l’adoration eucharistique, et particulièrement le chant qui l’accompagne. Un discernement ici est nécessaire. L’Eglise en effet donne une place primordiale à la musique et au chant dans toutes les actions liturgiques, car « sous cette […]
-
Comment choisir les chants d’une célébration ?
J’aime ce chant… … pour sa mélodie (belle, émouvante, plaisante) … parce que je le connais, je sais le chanter … parce qu’il fait référence à un souvenir vécu … parce qu‘il est connu, populaire, qu‘il a du succès … parce que je le trouve festif, joyeux, méditatif … parce qu‘il est proposé par tel […]
-
Le tabernacle et le culte eucharistique
Le tabernacle, et sa réserve eucharistique, occupe une place importante dans l’ensemble du culte eucharistique. Celle-ci découle de deux actions liturgiques essentielles : la communion et l’adoration.
-
La piété populaire et le culte eucharistique en dehors de la messe
L’adoration eucharistique est une des formes du culte eucharistique en dehors de la messe. Ici ou là, refleurissent aussi les processions de la Fête-Dieu, le jeudi – dans les pays où la fête du Saint-Sacrement est de précepte – ou le dimanche qui suit la Sainte Trinité.
-
Proposer une veillée d’adoration avant la fête du Saint Sacrement
Le Service de pastorale liturgique et sacramentelle, de musique et d’art sacré du diocèse de Strasbourg propose ici une veillée d’adoration pour la veille de la fête du Corps et du Sang du Christ. On peut aussi la proposer un autre soir de la semaine précédant la fête.
-
Des processions, pourquoi ?
Le spectacle offert dans les rues par les processions des rameaux, du Saint-Sacrement ou encore par celles des traditions populaires peuvent surprendre. Et des questions surgissent : pourquoi ces cortèges ? D’où viennent ces traditions ? Ont-elles encore un sens ? Quant aux processions qui se déploient pendant la messe, on peut se demander si elles n’encombrent pas inutilement les rites.
-
Catéchèse du pape sur l’eucharistie : Les fruits de la messe
Dernière catéchèse du cycle de catéchèses données par le pape François sur la messe et l’Eucharistie : l’envoi et les fruits de la messe. Le pape nous exhorte au sortir de la messe, à « aller dans la paix du Christ » apporter la bénédiction de Dieu dans nos activités quotidiennes, dans nos maisons, sur nos lieux de travail, dans les occupations de notre vie terrestre, en « glorifiant le Seigneur par notre vie ».
-
Solennité du Saint Sacrement ou solennité du Corps et du Sang du Christ
La solennité du Corps et du Sang du Christ fut célébrée pour la première fois à Liège en 1247. En 1208, une religieuse, Julienne de Mont-Cornillon eut une vision du Seigneur qui lui fit comprendre la nécessité d’une fête annuelle pour honorer le Sacrement de l’autel.
-
Les gestes d’adoration et l’adoration eucharistique
Si vous ouvrez le dictionnaire au mot « adorer » vous lirez ceci : « Rendre un culte à un dieu, un objet divinisé ; aimer passionnément ; apprécier beaucoup ». La définition est large et peut concerner une divinité, une personne, un objet. Lorsque l’Eglise utilise le terme, chacun devine que l’adoration concerne Dieu et le Christ. Mais peut-être convient-il de rappeler ce que dit l’Eglise de l’acte d’adoration.
-
Le culte eucharistique en dehors de la Messe
Dans les premiers siècles de l’Église, on conservait du pain eucharistique, après la célébration, pour l’apporter aux mourants. Le concile de Nicée de 325 parlait déjà d’une « règle ancienne interdisant de priver du dernier et très nécessaire viatique celui qui est près de la mort. »
-
Proposition de chants pour la solennité du « corps et du sang du Christ »
La solennité du « corps et du sang du Christ » était autrefois appelée « Fête-Dieu » ou « Saint Sacrement ». Elle correspond au 2e dimanche après la Pentecôte. Voici une proposition de chants pour la liturgie de ce jour.
-
La cloche, instrument liturgique et outil de communication
Née d’une alchimie complexe de la terre et du feu, la cloche convoque à l’assemblée chrétienne, accompagne parfois la célébration des offices religieux et rythme les étapes de la vie de la communauté monastique ou paroissiale. Elle rassemble les vivants dans le sentiment d’appartenir à une communauté bien identifiée.
-
L’Esprit de la liturgie selon Vatican II : discours du pape Jean-Paul II
L’Assemblée plénière de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements s’est réunie à Rome du 30 avril au 4 mai 1996. Le 3 mai, Jean-Paul II a reçu en audience les participants à cette assemblée et leur a adressé le discours suivant :
-
Eucharistie : réaliser la présence réelle
Que signifie exactement la présence réelle, et pourquoi l’adoration eucharistique a-t-elle un rapport direct avec elle ? Dans certains débats sur la présence réelle, le rôle de l’eucharistie dans la liturgie et la vie chrétienne, débats d’ailleurs peut-être dépassés aujourd’hui, l’une des objections à ne pas sous-estimer, consiste à dire qu’il ne faut pas isoler l’eucharistie de la célébration liturgique, ni de la présence de la communauté, ni exposer la célébration eucharistique au danger de la « chosifier » en espèces consacrées ni moins encore transposer celles-ci en idoles.
-
L’adoration eucharistique : « Il est grand le mystère de la foi ! »
Il est fréquent que des fidèles aillent demander au curé de leur paroisse d’établir des temps d’adoration eucharistique et qu’ils ressentent chez lui des réticences. Il est vrai que, s’il reçoit la demande comme un « rétablissement » de ce qui se faisait dans le passé, ses hésitations sont compréhensibles. Mais il est tout à fait possible de répondre positivement à ces demandes en travaillant à promouvoir une autre manière de vivre l’adoration eucharistique.
-
Vivre en communion : aller porter la communion
Vous trouverez ici un guide pratique pour aller porter la communion aux malades, afin de rester en communion en dehors de la messe.
-
Prières pour accompagner des malades proches de la mort
Comment aider un groupe paroissial qui a reçu une mission apostolique ou caritative à démarrer son activité ou à lancer l’année pastorale ? En complément du dialogue pastoral autour de la mission, envisager un temps de prière pourra aider ce groupe à s’en remettre à Dieu afin que « toutes nos activités prennent leur source en toi et reçoivent de toi leur achèvement ».
-
Le tabernacle et le culte eucharistique
Le tabernacle, et sa réserve eucharistique, occupe une place importante dans l’ensemble du culte eucharistique. Celle-ci découle de deux actions liturgiques essentielles : la communion et l’adoration.
-
Porter la communion aux malades : quelle démarche ?
Dès l’an 150, saint Justin en nous donnant la première description de la messe dans sa première Apologie, n°67, signale que « l’on envoie leur part (des aliments consacrés, c’est-à-dire de l’eucharistie) aux absents, par le ministère des diacres ».
-
Porter la communion aux malades : un ministère
Si la parole du Seigneur « J’étais malade et vous m’avez visité » (Mt 25, 36) s’adresse à tout baptisé, porter la communion à un malade relève du ministre extraordinaire de la communion.1 Ce ministère demande de s’y être préparé et normalement d’être mandaté.
-
Sacrements pour les malades, un Rituel au pluriel
« Sacrements pour les malades », ainsi s’intitule le Rituel issu de la réforme conciliaire. Cela nous introduit dans un concept d’accompagnement et non seulement de célébration ponctuelle.
-
Que propose l’Eglise face à la maladie ?
Depuis toujours, l’Église, à l’exemple de son Seigneur, vient à la rencontre des personnes malades. La maladie touche la personne au plus intime et au plus incommunicable d’elle-même, aussi le malade fait-il dans sa chair l’expérience de son impuissance, de ses limites et de sa finitude.
-
Le culte eucharistique en dehors de la Messe
Dans les premiers siècles de l’Église, on conservait du pain eucharistique, après la célébration, pour l’apporter aux mourants. Le concile de Nicée de 325 parlait déjà d’une « règle ancienne interdisant de priver du dernier et très nécessaire viatique celui qui est près de la mort. »
-
Guérir, sauver : quel rapport ?
Si l’on se pose une telle question c’est qu’existe forcément un rapport, contesté peut-être mais néanmoins réel. Le tout est d’arriver à percevoir s’il s’agit d’une même réalité ou si nous pressentons qu’il existe une certaine distance entre les deux. D’autant qu’ici l’on nous demande d’articuler l’onction des malades avec ce double rapport : « guérir et sauver ».
-
La communion des malades
Le port de la communion aux malades, qui constitue la forme prédominante de la communion des absents, a connu de nos jours une mutation de la plus haute importance dans le triple domaine de son ministre, de sa périodicité et de sa publicité.
-
Le geste liturgique à l’épreuve de la santé
A scruter les rapports qu’entretiennent entre elles la maladie et la liturgie, on est conduit à envisager ce qu’on pourrait appeler des situations limites, lorsque les stigmates de la maladie ou du handicap sur le corps du sujet compromettent, chez celui-ci, l’accès au geste et singulièrement au geste liturgique.
-
Porter la communion à domicile
Matthieu 25, 35 : « (…) j’ai eu faim et vous m’avez donné à manger, j’ai eu soif et vous m’avez donné à boire, j’étais un étranger et vous m’avez accueilli, nu et vous m’avez vêtu, malade et vous m’avez visité, prisonnier et vous êtes venus me voir. » De tous temps la communauté chrétienne […]
-
Le tabernacle et le culte eucharistique
Le tabernacle, et sa réserve eucharistique, occupe une place importante dans l’ensemble du culte eucharistique. Celle-ci découle de deux actions liturgiques essentielles : la communion et l’adoration.
-
Le tabernacle, lieu de la présence
Le mot « tabernacle » provient du latin tabernaculum qui signifie « tente ». Son emploi liturgique rappelle « la Tente de la rencontre » où Dieu rencontrait son peuple au désert. Moïse entre dans la tente quand il veut consulter le Seigneur, obtenir de lui une parole pour le peuple, « Le Seigneur ayant achevé de parler avec Moïse sur la montagne du Sinaï, il lui donna les deux tables de la charte, charte de pierre, écrite du doigt de Dieu » (Ex 31, 18), ou inversement pour intercéder en faveur de son peuple, (Nb 14), ou encore pour converser avec Yahvé, « Le Seigneur s’entretenait avec Moïse face à face, comme un ami parle à son ami » (Ex 33, 11).
-
Le tabernacle, lieu de la présence : vocabulaire et aménagement
Le tabernacle, la tente des Hébreux par laquelle Dieu montre son soutien à son peuple, ce qui annonce l’eucharistie, est devenu, dans le culte catholique, un meuble aux aspects divers. Devant permettre la conservation digne du pain consacrée en même temps que l’exaltation de la Présence réelle, son implantation diffère selon l’époque : distinct ou non de l’autel, incorporé au retable situé dans le chœur ou dans une chapelle. La forme est passée de l’ostentatoire au minimalisme, évolution anecdotique si elle n’était liée au message à transmettre.
-
Une chapelle réaménagée, un nouveau tabernacle dans la chapelle Saint Michel de Limoges
Le tabernacle de la chapelle saint Michel de Limoges. Installé en 2011, il a été conçu par Léa Sham’s et Alain Duban. Par Jean-Marie Gaudron En août 2011, les fidèles de l’église saint Michel des lions ont découvert la chapelle du Saint Sacrement toute transfigurée par un réaménagement autour d’un nouveau tabernacle. À l’écart des […]
-
Tabernacle de l’église de la Maison de la Parole à Meudon (92)
Tabernacle de la Maison de la Parole à Meudon Verre diaphane / coffre en acier poli, Installation le 5 janvier 2012, diamètre 0.60 m Par Dominique Dessolin, Aumônier des artistes Le Tabernacle, lieu mémoire de la communion entre les fidèles, entre les croyants et le Dieu Trinité Le Tabernacle est le lieu de la […]
-
Un mobilier blanc, lumineux à ND d’Urville (50)
Par Mireille Bouchard Découvrez le témoignage de l’architecte d’intérieur Mireille Bouchard, à l’occasion du réaménagement de l’église Notre Dame d’Urville-Nacqueville : On me demande d’évoquer ma démarche plastique et spirituelle à propos de la commande qui m’a été faite pour le mobilier liturgique de l’église d’Urville-Nacqueville. Ces deux expressions, démarche plastique et démarche spirituelle sont […]
-
Le tabernacle de l’église de Bassens par Roland Daraspe (33)
Monsieur Roland Daraspe, Maître d’art, nous fait part de la réalisation d’une de ses oeuvres : le tabernacle de l’église de Bassens. « Dès l’origine du projet, il avait paru nécessaire que le tabernacle qui serait au centre du chœur de l’église de Bassens établisse le lien entre la tente de l’ancienne Alliance et le […]
-
Autel, tabernacle et vitraux de la chapelle de la communauté des Filles de Saint Paul (69)
Voici une présentation de l’aménagement liturgique de la chapelle de la communauté des Filles de Saint Paul à Villeurbanne, dans le diocèse de Lyon.