Célébration des funérailles : description des étapes

C’est le mystère pascal du Christ que l’Église célèbre avec foi dans les funérailles de ses enfants. Ils sont devenus par leur baptême membres du Christ mort et  ressuscité. [Lors des obsèques] on prie pour qu’ils passent avec le Christ de la mort à la vie, qu’ils soient purifiés dans leur âme et rejoignent au ciel tous les saints, dans l’attente de la résurrection des morts et la bienheureuse espérance de l’avènement du Christ (Rituel des funérailles, n° 1)

La liturgie est une action rituelle et symbolique qui met en scène constamment du faire et du dire, de l’action et de la parole. Le langage rituel n’est pas de l’ordre du discours abstrait mais de l’agir où le corps est partie prenante. La liturgie est dans son essence « corporelle », non seulement par les gestes qu’on fait mais aussi dans les paroles qui sont dites. Les rites mettent en jeu le corps dans la relation aux autres et à Dieu.
La liturgie des funérailles n’échappe pas à cette règle générale. Or elle est marquée par la présence au milieu de l’assemblée du corps mort du défunt. La dignité de ce corps, promis à être transfiguré dans la résurrection de l’être, appelle le respect et l’honneur dans les rites funéraires mis en œuvre lors de la célébration :
Le corps privé de vie a lui aussi sa dignité […] Il est corps de la mère ou du père auquel les enfants doivent la vie ; corps de l’ami, dont la proximité était la communication de relation et d’amour : il est le corps qui garde les marques du travail corporel, ou par lequel s’est effectué le travail intellectuel ; le corps qui dans sa vie a porté les stigmates de la maladie et des souffrances, du handicap, de l’âge et de la déchéance, plaies qui dans la transfiguration de la chair ressuscitée reçoivent valeur éternelle (« Les pratiques funéraires et l’accompagnement des personnes en deuil. Réflexion de la Conférence des évêques d’Allemagne [1994] », dans La Documentation catholique, n°2123 du 15 novembre 1995).
Cette reconnaissance de la valeur du corps s’exprime dans la célébration. Les rites des funérailles rappellent les rites du baptême qui s’achève ce jour où parait devant Dieu celui qui été reconnu comme enfant de Dieu au jour de sa nouvelle naissance.
Les grandes étapes de la célébration des funérailles à l’église sont présentées
ci après selon le guide pastoral « Dans l’espérance chrétienne » (2008).
  1. RITES D’OUVERTURE

La liturgie d’accueil prend en compte la vie du défunt, ses relations, ses activités. La présence du corps pour la liturgie d’accueil fait que nous ne célébrons pas dans le vide, « en présence » d’un absent. Mais d’emblée les rites d’accueil vont dire l’autre présence, celle du Christ, solidaire de tous ceux qui ont achevé leur chemin et compatissant pour les proches dans la peine.

Accueil du défunt – chant d’entrée – salutation et monition d’ouverture – rite de la lumière et autres rites possibles – rite pénitentiel – prière d’ouverture

ACCUEIL À LA PORTE
– Accueil du défunt

NB : Là où le Siège Apostolique a concédé la faculté de célébrer en présence des cendres du défunt, ce qui est dit du cercueil vaut, de manière générale, pour l’urne funéraire.

16 Pendant le temps qui précède la célébration, on peut prévoir de la musique (orgue ou autre instrument) pour favoriser un climat de paix et de prière.
163 S’il y a procession de la maison du défunt (ou du funérarium) à l’église et que l’officiant y participe, l’entrée se fait directement et il n’y a pas, à proprement parler, d’accueil à la porte de l’église.
164 Dans les autres cas, l’officiant, se rend soit à la porte de l’église, soit à l’endroit de l’église où le corps a été déposé. Là, il salue les proches du défunt. Puis il se recueille devant le défunt. Il peut faire le signe de la croix en geste de bénédiction et dire une prière. Il vaut mieux réserver l’aspersion avec l’eau bénite pour le dernier adieu.
165 Si le corps est déjà dans l’église à l’endroit où il restera pendant la célébration, l’officiant se rend directement à son siège.
166 On placera le cercueil de manière à faciliter le regroupement de l’assemblée et à permettre que tous voient bien les gestes accomplis autour de celui-ci.

NB : Selon l’opportunité, on conservera la coutume de disposer le cercueil dans la position que le défunt occupait d’habitude dans l’assemblée liturgique, c’est-à-dire : pour un fidèle, tourné vers l’autel ; pour un prêtre ou un diacre, tourné vers le peuple (RR 38).

Le corps du défunt attend près de la porte de l’église. C’est sur ce même seuil qu’un jour, petit enfant, adolescent ou adulte, celui qui vient de mourir s’est présenté pour demander le baptême. C’est ce rappel qu’exprime la monition proposée. Le seuil ou la porte, c’est le lieu du passage symbolique qui conduit de l’ombre à la lumière, de la mort à la vie. C’est sur ce seuil que le catéchumène exprime son désir de recevoir le baptême et d’entrer par la porte. Et la porte, c’est le Christ !Tout au long de la célébration, nous nous adressons au défunt par le nom qu’il a reçu à son baptême. Comme au jour de son baptême, celui qui conduit la prière s’adresse à Dieu en en nommant le défunt par son nom. Le nom, ce n’est pas seulement une appellation pratique. Il constitue l’être même. Au fil de la prière, le défunt continue d’exister par ce nom.

– Le chant d’entrée

167 Il y a un seul chant pour la procession d’entrée avec le corps et le commencement de la célébration. On choisira le meilleur moment pour l’entonner : soit pendant la procession d’entrée, soit une fois l’assemblée en place, soit après la monition d’ouverture, soit après le rite de la lumière.

LE MOT D’ACCUEIL

168 Après la salutation habituelle ou adaptée aux funérailles, l’officiant prend la parole pour accueillir la famille et l’assemblée et les introduire dans la célébration. Si cela paraît opportun, quelqu’un qui connaissait bien le défunt peut rappeler très brièvement quelques points de sa vie ; il faut veiller à ce que cela n’ait pas le caractère d’un panégyrique (parfois une telle intervention peut se situer au début du dernier adieu).

Le défunt a accompli son chemin sur la terre en tissant des relations fortes. Ce qu’il a vécu est offert au Seigneur en offrande comme le fera vivre l’Eucharistie ou la prière de louange avant le dernier adieu. Encore faut-il prendre le temps de faire mémoire de cette vie, d’évoquer ce chemin qui laisse sa trace dans le cœur des proches et des amis. Le rite exprime la foi. Or la foi chrétienne se tisse dans la vie des êtres humains et cette vie a une valeur inestimable : non seulement parce qu’elle est don de Dieu créateur, mais plus encore parce que le Christ a pris chair et qu’il est venu habiter chez nous. Prendre le temps d’évoquer la vie du défunt, en évitant si possible le panégyrique, humanise le rite. Il lui donne chair. Nous n’accompagnons pas dans ce passage un inconnu mais une personne. La monition d’accueil manifeste la compassion, appelle l’intercession et conduit vers la louange.

LE RITE DE LA LUMIÈRE ET LES AUTRES RITES

166 […] On mettra en valeur le cierge pascal qui aura été allumé avant la célébration. On peut disposer auprès du cercueil d’autres cierges qu’on allumera à partir du cierge pascal. La croix de procession peut être placée à côté du cercueil, à moins que celle de l’autel ne soit visible par tous.
169 Après la salutation et la monition, on allumera les cierges autour du cercueil ; d’autres rites pourront avoir lieu : déposition sur le cercueil d’une croix, d’une Bible ou d’un autre signe chrétien (médaille de baptême, etc.), du vêtement blanc ou d’autres vêtements liturgiques ; mise en valeur du sens des fleurs…

Le premier rite est le rite de la lumière : Il établit une solidarité entre le Christ mort et ressuscité et le devenir de ce mort appelé à vivre, à recevoir la vie de celui qui est « le premier-né » d’entre les morts. En transmettant la lumière près du corps à partir du cierge pascal, on rend visible que la vie est source de vie, la lumière source de l’illumination comme au jour du baptême. Que des proches, incapables peut-être le jour des funérailles de prononcer un mot, puissent s’approcher, recevoir et transmettre cette lumière en silence, n’est-il pas le signe que, malgré les doutes ou les hésitations, la foi peut briller même faiblement dans leur propre vie. Tel est le sens des paroles que prononce l’officiant : Le rite de la croix n’est pas obligatoire. Souvent les familles voient dans la croix le signal de la mort et ne discernent plus que ce signe est imprégné d’espérance. Jésus est mort comme nous. Se faisant solidaire de l’humanité souffrante, il la libère de la double peine du péché et de la mort. Même quand les familles hésitent ou refusent ce geste, une croix peut être posée sur l’autel ou la croix de procession peut demeurer dans l’espace, près de l’autel et du cierge pascal dont elle est inséparable. La croix est vraiment signe de reconnaissance du christianisme, même au risque de choquer et de prendre à revers le déni de la mort. C’est le sens des paroles que prononcer l’officiant.

LA PRÉPARATION PÉNITENTIELLE

170 L’officiant poursuit habituellement par le rite pénitentiel, puis il dit la prière d’ouverture, en choisissant parmi celles qui sont proposées ou en annexe, à moins que, pour des raisons pastorales, une brève monition ne soit préférable. Pour faciliter le choix, les prières d’ouverture ont été regroupées dans l’ordre suivant : cinq oraisons pour situations communes (n.188-192) ; quinze oraisons pour circonstances ou personnes requérant une attention particulière (n. 193-204). La liturgie de la Parole suit immédiatement.

L’assemblée présente dans l’église est d’abord venue pour entourer les proches de leur affection et par amitié pour le défunt. Tous désirent rendre hommage à la personne disparue dont on a pu dire beaucoup de bien dans la monition d’accueil au risque du panégyrique. Mais nous savons d’expérience combien toute vie est faite d’ombre et de lumière. Le Christ est mort pour nous libérer du mal. Le défunt est aussi un pécheur à qui le pardon est accordé. C’est la pâque du Christ qui sauve. La liturgie pénitentielle tourne alors notre regard vers la croix et la demande de pardon est autant pour le défunt que pour l’assemblée qui partage avec lui la condition de péché et l’espérance du salut.

LES ORAISONS

Le temps de l’accueil s’achève avec l’oraison. Le regard et le cœur s’adressent maintenant à Dieu pour rassembler la prière dans ces quelques mots tissés de Parole et d’espérance qui font transition avec la liturgie de la Parole. Parlant maintenant franchement au Seigneur, nous allons nous trouver prêts à l’entendre nous parler.

Approfondir les rites d'ouverture

  • Célébration des funérailles : du bon usage des rites d’ouverture

    Sacha Guitry aimait répéter à ses acteurs : « Il ne faut jamais rater son entrée en scène !» Sans vouloir comparer la liturgie au théâtre, on pourrait dire de la même façon : « Il ne faut pas manquer les rites d’ouverture ! »

  • La diversité des oraisons d’ouverture pour les défunts

    Dans la célébration des obsèques, la prière d’ouverture constitue une manière privilégiée pour prendre en compte la vie du défunt. Le guide pastoral Dans l’espérance Chrétienne, dans le sillage du Rituel des funérailles lui-même, prévoit deux catégories : des oraisons plus généralistes et d’autres pour des circonstances particulières. Grâce au nombre des oraisons et à leur variété, la prière peut ainsi s’adapter aux situations réelles.

  • Comment prendre en compte la vie du défunt dans la pastorale des funérailles ?

    Lors des funérailles chrétiennes, l’Église exerce un service de compassion et de prière auprès des personnes et des familles touchées par la mort et qui affrontent une épreuve. Les vivants ont un intense besoin d’entendre des mots vrais sur le sens profond de leur propre vie (cf. Gaudium et Spes (GS) n°18).

2. LA LITURGIE DE LA PAROLE

205 Dans les célébrations pour les défunts, la liturgie de la Parole joue un rôle très important. Elle proclame le mystère pascal, nourrit l’espérance de se retrouver dans le Royaume de Dieu, enseigne l’attachement envers les défunts et la prière que l’on doit faire pour eux, et exhorte au témoignage d’une vie chrétienne.
206 Pour le déroulement, on suivra les indications données dans le Lectionnaire pour la liturgie des défunts. Il peut y avoir trois lectures bibliques, dont la première est alors tirée de l’Ancien Testament. Habituellement le déroulement se présente de la manière suivante :
– une première lecture après laquelle le psaume peut être chanté ou lu par un soliste, avec un refrain chanté par tous ;
– l’évangile précédé d’un verset d’acclamation, qui peut être l’alléluia (sauf pendant le Carême) ; si on utilise le Graduale simplex, on peut omettre, pour raison pastorale, le chant de l’alléluia ;
– une brève homélie ou un commentaire qui actualise la Parole de Dieu et qui ne doit pas être un éloge funèbre ou un panégyrique du défunt ;
– la prière universelle, introduite et conclue par l’officiant ;
– le « Notre Père » qui achève la liturgie de la Parole.
Le choix des lectures proposé par le Lectionnaire pour la liturgie des défunts n’est pas
limitatif : on peut choisir une lecture dans le Lectionnaire du temporal ou du sanctoral, si cela paraît opportun.
207  Pour la prière universelle, on trouvera dans l’ouvrage Dans l’espérance chrétienne, à titre d’exemple, quatre formulaires complets différents et une série d’intentions particulières. On peut en composer ou en utiliser d’autres. L’introduction et l’oraison de conclusion reviennent à l’officiant. Les intentions sont dites par un autre fidèle. Pour la réponse de l’assemblée, on proposera soit une invocation chantée ou dite, soit une prière silencieuse après chaque intention.
208 Si des raisons pastorales l’exigent, on peut ne faire qu’une seule lecture, mais on fera toujours la prière universelle, avec ou sans l’oraison de conclusion, et immédiatement après on dira le « Notre Père », avant de passer au dernier adieu.
209 Il est proposé, après la prière universelle et avant le « Notre Père », de dire une prière de louange qui exprime la foi en Jésus Christ mort et ressuscité. L’officiant choisira cette prière parmi les six formulaires proposés et il la dira du lieu où il se trouve, en évitant l’autel réservé à l’eucharistie. On passera ensuite au dernier adieu qui, éventuellement, peut avoir lieu au cimetière lorsque toute l’assemblée s’y rend.

Approfondir la liturgie de la Parole

3. RENDRE GRÂCE

Entre la mort des baptisés et le don que Jésus fait de sa vie sur la croix s’est tissé un lien fort et charnel qui relie le peuple de Dieu en chacun de ses membres à la personne du Christ. Grâce à ce lien, la résurrection du Christ est promesse de vie éternelle.

Comme le rappelle le Rituel des funérailles, « c’est le mystère pascal du Christ que l’Église célèbre avec foi, dans les funérailles de ses enfants. Ils sont devenus par leur baptême membres du Christ mort et ressuscité. On prie pour qu’ils passent avec le Christ de la mort à la vie » (n° 1). Signe de ce lien entre la pâque du Christ et la vie donnée à tous les baptisés, la liturgie des funérailles déploient des rites, des signes et des paroles, très proches du rituel du baptême. Mais le lien est aussi à faire avec la liturgie eucharistique : « Aussi l’Église offre-t-elle pour les défunts le sacrifice eucharistique de la pâque du Christ et elle leur accorde ses prières et ses suffrages ; ainsi, puisque tous les membres du Christ sont en communion, elle obtient pour les uns un secours spirituel en offrant aux autres la consolation de l’espérance » (n° 2).

C’est donc normalement maintenant, dans la liturgie, le temps de l’Eucharistie. Mais le contexte pastoral n’autorise pas toujours –voire trop rarement !- la célébration de l’Eucharistie. Lorsque ce n’est pas possible ou pas souhaitable pour la raison que l’assemblée est insuffisamment initiée à ce que l’Église célèbre dans ce sacrement, il est encore possible de se tenir devant le Seigneur dans la louange et l’action de grâce. L’ouvrage Dans l’espérance chrétienne proposent six prières de louange pour guider l’assemblée jusqu’à ce seuil de la foi, où « même en présence de la mort, nous osons louer le Dieu des vivants ».

4. LE DERNIER ADIEU

223 Après le « Notre Père » suit le rite du dernier adieu.
224 Si toute l’assemblée se rend au cimetière, on pourra y faire le dernier adieu.
225 En raison même de son sens, ce rite ne peut s’accomplir normalement qu’en présence du corps, sauf dans le cas des funérailles de défunts dont les corps ont disparu ; dans ce cas, il n’y a ni aspersion ni encensement.
Pendant le rite du dernier adieu, l’officiant se tient près du cercueil.[Ce qui est dit du cercueil vaut également pour l’urne funéraire, si la célébration a lieu en présence des cendres]
226 Un invitatoire introduit un temps de silence et l’ensemble du rite ; c’est ici que l’on peut envisager, lorsque cette coutume existe, quelques paroles d’adieu préparées avec soin et exprimées par les proches ; il ne peut s’agir alors de discours officiels qui, normalement, auront leur place à l’issue de la cérémonie religieuse, selon les directives de l’Ordinaire du lieu).
Rite d’aspersion
Puis viennent les deux éléments les plus importants de ce moment de la célébration : le chant (ou les invocations) du dernier adieu, les gestes de l’aspersion et de l’encensement.
227 Le chant du dernier adieu doit apparaître comme le sommet de l’adieu de l’assemblée au défunt. Il est donc souhaitable que toute l’assemblée y participe. Si l’on ne peut chanter, l’officiant proposera à l’assemblée de prier en s’unissant à quelques invocations. Cette forme de prière doit tendre à créer le même climat de confiance et d’espérance que le chant d’adieu.
228 L’aspersion, rappel du baptême, et l’encensement, signe de respect pour le corps d’un chrétien qui a été le « temple de l’Esprit Saint », sont des gestes d’adieu de la communauté chrétienne. Même si l’encensement n’est pas possible dans certains cas, il convient de toujours faire l’aspersion. Ici, plus qu’à tout autre moment, elle rappelle que le baptême introduit dans la vie éternelle.
229 L’officiant dit ensuite l’oraison du dernier adieu. Enfin, si c’est la coutume, il invite l’assemblée au geste d’aspersion : ce geste peut être accompagné d’un temps de musique instrumentale qui doit contribuer à créer un climat de paix. Lorsque l’assemblée ne fait pas l’aspersion, l’officiant peut conclure le rite par un souhait de paix, avant qu’on emporte le cercueil.
230 Tandis qu’on emporte le cercueil hors de l’église, il sera bon d’exécuter un chant approprié ou de prolonger la musique instrumentale.

Approfondir les rites d’adieu

  • Célébration des funérailles : la liturgie du dernier adieu

    La liturgie de la Parole et le temps de la louange, conclus par le Notre Père, viennent de s'achever. Nous étions tournés vers le Seigneur pour oser le louer et reprendre humblement les mots qu'il nous a donnés,[...]

  • Rendre grâce aux funérailles

    Alors que la tristesse remplit nos cœurs, que des pourquoi travaillent nos esprits, que la révolte est parfois prête à surgir ou à resurgir, l'Eglise nous invite à rendre grâce. Est-ce vraiment possible quand tout semble s'effondrer avec la disparition d'un être cher ?

  • Les gestes des funérailles

    Le geste parle. Surtout quand la douleur rend muet. Le rituel des funérailles propose de nouveaux gestes, très éloquents. Louis Groslambert nous en rappelle le sens et attire notre attention sur la manière de les bien accomplir pour qu'ils soient prédication pascale.