Onction

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Du latin unctio : « action d’oindre (ungere) ». L’onction d’huile sainte est un des signes principaux des actes liturgiques ; elle est essentielle à la célébration de la confirmation et du sacrement des malades, mais elle intervient comme sacramental dans les rites du baptême et de l’ordre, ainsi que pour la dédicace des églises et des autels.

Dom Robert Le Gall – Dictionnaire de Liturgie © Editions CLD, tous droits réservés

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  26. z
  • L’huile, l’onction et la messe chrismale

    Pourquoi donc utiliser de l’huile en des célébrations liturgiques ? L’huile n’a, en soi, rien de spirituel … Cependant, si l’eau coule sur le corps, l’huile le pénètre : l’effet est tout différent.

  • Face à la maladie, une rencontre avec le Christ

    Le sacrement des malades revisité : « Le spirituel en l’homme n’est pas déconnecté du corps. C’est dans le regard et le sourire de l’autre, dans une main tendue que se pressentent la joie de la personne, sa peine, son désespoir. La joie, la peine, la paix sont de l’ordre du spirituel. Il s’agit de tout ce qui est ouverture du corps, de l’être vers l’au-delà du corps.

  • L’onction à Béthanie dans le contexte de la semaine sainte

    L’évangile du lundi saint est l’épisode de l’onction à Béthanie (Jn 12, 1-11). Pourquoi un tel choix ? Qu’apporte cette lecture en ce début de Semaine sainte ?

  • La prière de bénédiction de l’huile des malades

    Selon l’usage de la liturgie latine, depuis le début du IIIe siècle (Tradition apostolique d’Hippolyte), la prière de bénédiction de l’huile des malades est prononcée pendant la prière eucharistique, soit aujourd’hui au cours de la messe chrismale, juste avant la grande doxologie.

  • Préparation ultime des catéchumènes : derniers rites préparatoires avant la Veillée pascale

    Au terme du Carême où leur préparation a pris la forme d’une sorte de retraite spirituelle de quarante jours ouverte par la célébration de l’appel décisif et de l’inscription du nom et scandée par les trois scrutins, les catéchumènes ont déjà pu prendre part aux liturgies de la semaine sainte avec leurs accompagnateurs. Depuis le dimanche des Rameaux et de la Passion du Seigneur, ils ont pu « commencer avec toute l’Église la célébration du Mystère pascal ».