Intonation

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Action d’entonner (intonare, en latin, signifie « faire retentir »), c’est-à-dire de donner les premiers mots ou les premières notes d’une pièce liturgique. L’intonation peut revenir au célébrant, aux chantres ou à d’autres participants d’une cérémonie. On entonne ainsi un Gloria, un Credo, un Te Deum, une antienne, un Psaume, une hymne, etc. Voir Imposition.

Dom Robert Le Gall – Dictionnaire de Liturgie © Editions CLD, tous droits réservés

Tout le lexique :
  1. a
  2. b
  3. c
  4. d
  5. e
  6. f
  7. g
  8. h
  9. i
  10. j
  11. k
  12. l
  13. m
  14. n
  15. o
  16. p
  17. q
  18. r
  19. s
  20. t
  21. u
  22. v
  23. w
  24. x
  25. y
  26. z
  • 19 mars : chanter et fêter saint Joseph

    Pour vivre la fête de Saint Joseph, le 19 mars, voici trois hymnes et des litanies qui reprennent le chemin et les attitudes de Joseph à travers les rares mentions dans les évangiles canoniques et en s’appuyant sur la longue tradition de l’Eglise qui aime contempler sa figure.

  • L’hymne du « Te Deum » : A toi, Dieu, notre louange !

    Cette hymne A toi, Dieu, notre louange ! est placée par la liturgie des Heures en conclusion de l’Office des lectures des dimanches (sauf en Carême), des solennités et des fêtes. Cette composition de Nicetas, qui était évêque en Roumanie à la fin du IVe siècle, l’Église l’a transmise précieusement et en a fait le chant privilégié des actions de grâce.

  • Le Credo de Nicée-Constantinople

    Par sa richesse biblique, sa précision dogmatique, son autorité conciliaire, le symbole de Nicée-Constantinople s’est imposé comme expression habituelle de la foi dans la liturgie romaine. Son autorité est reconnue dans le dialogue œcuménique.

  • Des Ordinaires pour des temps liturgiques précis

    Avent, Temps de Noël, Carême, Temps pascal … la question d’avoir des Ordinaires propres à des temps liturgiques donnés mérite d’être posée. Mais avant, il convient tout d’abord de s’entendre sur le terme « Ordinaire » lui-même.

  • Le Gloire à Dieu

    Au Kyrie eleison succède, sauf pendant l’Avent et le Carême, l’hymne Gloire à Dieu. Ici, le chant n’accompagne pas le rite (il ne se passe rien pendant le chant) ; le chant est le rite. Cela aura des implications sur sa mise en œuvre.