Biographie
Directrice du Service national de pastorale liturgique et sacramentelle (SNPLS) de la Conférence des évêques de France.
Titulaire d’une maîtrise de théologie, Bernadette Mélois a été responsable de la musique liturgique pour le diocèse de Paris. Avant d’être nommée à la tête du SNPLS par le Conseil permanent de la Conférence des évêques de France (CEF) lors de l’Assemblée plénière de printemps 2018, Bernadette Mélois était rédactrice en chef de la revue Magnificat.
Tous les articles de l'auteur
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Collection « Célébrer » : Les célébrations de la Parole
Premier volume de la Collection : Le Concile Vatican II a souhaité favoriser « la célébration sacrée de la Parole de Dieu » en dehors de la messe. A cette fin, l’Église a progressivement accompagné des célébrations spécifiques de la Parole.
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La place du Notre Père dans la liturgie
Une des attestations les plus anciennes de l’insertion du Notre Père dans la liturgie eucharistique se trouve chez saint Ambroise. S’adressant aux néophytes, il dit : « Lève donc les yeux vers le Père qui t’a engendré par le bain, vers le Père qui t’a racheté par son Fils et dis : « Notre Père ! »
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Que propose l’Eglise face à la maladie ?
Depuis toujours, l’Église, à l’exemple de son Seigneur, vient à la rencontre des personnes malades. La maladie touche la personne au plus intime et au plus incommunicable d’elle-même, aussi le malade fait-il dans sa chair l’expérience de son impuissance, de ses limites et de sa finitude.
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« Jésus, modèle de charité » : diaconie du Christ, diaconie de l’Église
Toute célébration eucharistique porte en elle l’appel à la diaconie et les ressources qui permettent d’y répondre par des actes concrets. La 4e préface (et l’intercession qui correspond) de la Prière eucharistique pour des circonstances particulières développe plus particulièrement cet appel.
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Des chants et de la musique couleur du temps
L’année liturgique est une traversée dynamique du temps qui trouve son sens ultime dans la plénitude du mystère pascal. C’est du mystère pascal que se nourrissent toutes les liturgies auxquelles nous participons, mais, si notre âme en est restaurée dans chaque célébration, notre intelligence et notre sensibilité le goûtent dans le « peu à peu » du temps qui s’écoule. Le « peu à peu » est nécessaire à notre entrée dans la connaissance du mystère de Dieu, et l’Eglise, dans sa sagesse pédagogique, a déployé l’immense richesse du mystère pascal au long du cycle annuel.